1. Un travail bien rémunéré


    Datte: 05/04/2024, Catégories: Première fois Auteur: Le licencieux, Source: Hds

    ... je lâchai prise. En un éclair ma pudeur s’évapora et je ne cherchai plus par des positions compliquées à dissimuler mon sexe qui semblait plaire à cette femme.
    
    Une heure plus tard elle me proposa de faire une pause au bord de la piscine. Je tendis la main vers mes vêtements
    
    — Non, je veux que vous restiez comme ça.
    
    Je crois que j’étais ravi de cette demande car je commençais à trouver très excitant de m’exhiber ainsi.
    
    Je me demandai quel âge pouvait avoir cette femme. Quarante cinq, cinquante ? Peut-être plus ? Et surtout, pourquoi, bien qu’étant nu comme un ver devant-elle, je ne m’en trouvai plus intimidé.
    
    — Vous pouvez vous baigner pour vous rafraichir si vous voulez.
    
    Je ne me fis pas prier et je plongeai aussitôt pour un bon quart d’heure de délassement.
    
    Lorsque je sortis de l’eau elle s’approcha avec une serviette pour me sécher.
    
    — Au fait je m’appelle Alexandrine, m’informa-t-elle.
    
    — Moi c’est Marc.
    
    — Je sais.
    
    Lorsque, à travers l’étoffe je sentis sa main courir sur mes fesses, je bandai déjà.
    
    — Tournez-vous !
    
    Je n’eus pas la possibilité de résister car, tout en parlant elle me fit pivoter.
    
    Elle me frotta le torse, le ventre, les bourses puis frictionna ma verge.
    
    Je la suivis ensuite vers la table basse où elle avait disposé des bières et des jus de fruits.
    
    Elle me parla un peu de sa vie. De son défunt mari, et de son manque d’homme.
    
    — C’est vrai qu’il y a beaucoup à faire dans une grande maison comme celle-la, ...
    ... fis-je benoitement.
    
    Elle me regarda alors avec une lueur étrange dans les yeux puis répondit.
    
    — je ne pensais pas seulement au bricolage.
    
    Ma naïveté m’empêcha de comprendre l’allusion.
    
    Un peu plus tard, elle me fit parler de moi, de mes projets, de mes envies et je fus intarissable.
    
    — Je voudrais être architecte mais les études coutent trop cher et ma mère ne peut pas m’aider.
    
    — Je comprends. Alors mes petites primes doivent-être les bien venue ?
    
    J’acquiesçai d'un mouvement de tête en baissant les yeux.
    
    — Et vous avez une petite copine ?
    
    — Non, madame.
    
    — Pourtant, bâti comme vous l’êtes vous ne devez pas manquer de séduire.
    
    Là, je ne sais pas ce qui me prit, mais je me senti autorisé, bien que cela me fut difficile, à confesser ma timidité maladive.
    
    — Pourtant, vous êtes entièrement nu devant moi.
    
    — Je sais, et je ne comprends pas ce qui c’est passé dans ma tête.
    
    — Peut-être est-ce mon âge qui vous rassure ?
    
    Je ne répondis pas et elle poursuivit après une pause.
    
    — Et vous n’avez donc jamais été caressé par une fille ?
    
    Je hochai la tête rouge de honte.
    
    — Allons, allons, mon garçon, il n’y a pas de honte à avoir.
    
    Je soupirai, encore abasourdi par mes aveux.
    
    Moins de cinq minutes plus tard elle enfonçait le clou :
    
    — Tu es encore puceau alors ?
    
    Je la regardai avec une mine de chien battu et elle me tapota le genou.
    
    — Allons, allons, je te taquine.
    
    Son soudain tutoiement ne me dérangea pas. Je la vis réfléchir un ...
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