1. Clémence, premiers émois


    Datte: 05/04/2024, Catégories: fh, ff, fplusag, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, rasage, fouetfesse, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... mon dévouement passif. Nous nous sommes accomplies mutuellement.
    
    Dès lors, il n’y eut de barrière de quelque sorte que ce fut entre ces deux âmes. Ève s’informa des pratiques affectives et sexuelles de Clémence qui ne lui cacha aucun des émois et des plaisirs éprouvés, ni des tristesses et des peines subies. Ève transmis à Clémence tous ses savoirs théoriques. Clémence lui communiqua chacun de ses ressentis physiques et psychologiques. L’intelligence se nourrissait de l’expérience, et vice verse.
    
    Ève appréciait particulièrement l’exhibition des masturbations de Clémence. Selon un rituel bien établi, elle lui demandait d’abord de se déshabiller, puis, au gré de son humeur, elle lui indiquait le lieu où se déroulerait le spectacle. Toutes les pièces de la maison l’accueillirent dans un premier temps, de la chambre au lever à la cuisine après dîner, voire aux toilettes pendant la miction. Ève repoussait sans cesse les limites de décence que pouvait accepter sa proie, sans toutefois la brusquer afin qu’elle s’habitue à dépasser ses tabous.
    
    — Je n’avais pas le droit de me masturber en cachette et elle décidait elle-même de la façon dont j’allais me caresser, précisa Clémence. Parfois, je devais me contenter de tourmenter mes seins en me frottant la chatte sur un polochon, ou bien garder les mains dans le dos en me branlant la moule sur un coin de table. D’autre fois, j’avais ordre de me fourrer le plus de doigts possibles dans le con, ou au contraire de ne pas me ...
    ... pénétrer et de me frotter le clito à nu, ce qui me faisait souvent hurler de douleur.
    
    Quelques fois, Ève l’interrompait, lui interdisait de jouir, et l’autorisait ou non ensuite à poursuivre jusqu’à l’orgasme. Mais toujours, celui-ci obtenu, elle vérifiait la consistance et la quantité de mouille qui en résultait. Elle en tira la conclusion que les jouissances les plus longues à venir et les plus douloureuses étaient les plus fortes et les plus productives. Ce qui les confirma toutes les deux dans la certitude que leur parti pris était le plus satisfaisant pour chacune.
    
    Au quotidien, Clémence était officiellement chargée de tenir la maison, de faire la cuisine et de s’occuper des courses dont Ève dressait la liste. Elles courraient ensemble les magasins de temps à autre, se séparant à l’occasion pour des emplettes personnelles. Dans ces cas-là, Ève revenait toujours avec un petit cadeau pour sa « dame de compagnie ». Sauf un soir où elle ne lui offrit rien. Clémence ne fit aucune remarque. Le lendemain, un collier, une chaîne de laisse, un martinet et une cravache étaient posés, bien en évidence sur la table du petit-déjeuner.
    
    — J’ai compris que nous entrions dans une nouvelle étape, confessa Clémence. J’avais mes règles, je n’y ai plus pensé… Je me suis mise nue sans qu’elle me le demande, et je me suis agenouillée devant elle.
    
    Ève lui passa le collier, y fixa la chaîne, et lui mit la cravache en travers de la bouche. Martinet en main, elle la conduisit à l’extérieur de ...
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