1. Clémence, premiers émois


    Datte: 05/04/2024, Catégories: fh, ff, fplusag, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, rasage, fouetfesse, piquepince, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... la maison.
    
    Dès lors, toutes les séances se déroulèrent à l’extérieur. Qu’il pleuve ou qu’il vente, elles duraient systématiquement deux heures de masturbations, flagellations, et autres exercices. La première session établit d’ailleurs le lien définitif entre plaisir et souffrance. Ève souhaitait une pénétration maximale des doigts à laquelle Clémence, vu son état, rechignait. Excellente occasion d’appliquer une fessée punitive, dont chacune, il faut le dire, espérait secrètement l’exécution.
    
    Ce fut simple : arrivées au milieu du jardin, Ève donna le choix à la récalcitrante entre obéir ou essayer le martinet. Clémence se prosterna et offrit ses fesses.
    
    — J’avais peur, admit-elle. Je n’avais jamais connu que des claques, plus amicales que violentes, mais je voulais savoir. Les premiers coups m’échauffèrent le cul, et ce n’était pas désagréable. J’avais des frémissements dans tout le corps, surtout dans le bas-ventre. Très vite, j’éprouvai le besoin de sensations plus fortes, c’était comme une ivresse. J’avais serré les fesses au début, là je me détendais. Mieux, je disjoignais mes cuisses, j’ouvrais mes genoux, me cambrais, m’écartais à deux mains. Les lanières atteignirent automatiquement mon sexe. Leurs brûlures me faisaient crier mais je ne me dérobais pas. Plus j’avais mal, plus j’étais excitée. J’ai joui sans me toucher, couverte de sueur malgré le vent.
    
    L’orgasme de Clémence avait été différent de l’ordinaire, quoique aussi puissant même si incomplet. Sa ...
    ... chatte, par contre, présentait de vilaines zébrures sur des lèvres gonflées, teintées de flux menstruel. Ève n’avait pas retenu son bras. Elles s’en effrayèrent autant l’une que l’autre et prirent conscience des risques auxquels pouvait conduire un délire incontrôlé.
    
    Si Clémence dissimulait mal son inquiétude plus que la souffrance, Ève était particulièrement furieuse contre elle-même, vexée de n’avoir pu, ou su, se dominer. Toutefois, elle ne s’excusa pas. Non. Elle promit à sa victime de la soigner et lui tendit la cravache en lui demandant de se venger avant. Malgré les dénégations de Clémence, elle insista, la suppliant presque, jusqu’à ce qu’elle accepte. Enfin satisfaite, elle fit glisser short et culotte sur ses chevilles, remonta son tee-shirt au-dessus des seins, et se renversa, pieds et mains au sol, pour exposer sa jolie moule.
    
    Clémence se fit violence et frappa. Le premier coup fut léger, mal ajusté. Ève la gourmanda. Elle se reprit, recommença plus fort. Le cri l’encouragea, elle se risqua plus durement, deux ou trois fois encore. Le dernier coup porta sur le clitoris. Ève hurla et se recroquevilla en chien de fusil, tremblante, une main entre les cuisses. Clémence, affolée, s’agenouilla et la prit dans ses bras en pleurant. Cravache et martinet gisaient à côté d’elles.
    
    Elles se consolèrent, se cajolèrent, s’embrassèrent. Les câlins leur faisaient oublier la douleur, les baisers les unissaient dans des pardons et remerciements mutuels. Un peu rassérénées, ...
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