Le parfum de l'interdit - Histoires de Sexe

Le parfum de l'interdit

... mère qui le fait chier !

Cependant, il faut que j’arrête mes conneries, je me rends compte que je suis véritablement mordue, accro à ce mec, comme une junkie à sa cam. Il faut que je me sèvre. Il faut que ses parties de jambes en l’air se terminent une bonne fois pour toutes ! Si je ne le fais pas pour moi, il faut au moins que je le fasse pour mon fils. Il a déjà accepté l’inacceptable, alors, je lui dois bien ça…

Kevin et moi nous sommes donnés rendez-vous un mercredi, Paul devait rentrer aux environs de six heures, et Mat était parti avec Kylian au foot. Je compte mettre fin à cette relation, je suis déterminée, non pas vraiment pour moi, mais juste pour mon fils.

Kev arrive et je lui dis tout de go mon envie d’en finir.

— C’était délicieux, une parenthèse magique, mais toutes les bonnes choses ont une fin…
— Je ne comprends pas…

Alors je lui ressers les mêmes arguments, la différence d’âge, le fait qu’il soit à peine majeur, le fait que je sois sa prof, le fait qu’il est le pote de mon fils… mais tout ça résonne mal, Kevin fait la sourde oreille. Il me prend dans ses bras, se fait câlin, tendre et aimant, il me mordille l’oreille, il sent bien qu’il prend le dessus sur ma volonté et moi-même me sens fléchir une nouvelle fois…

Alors qu’il m’embrasse dans le cou, je vacille et lui propose un dernier tour de piste, histoire de finir sur une bonne note.

— OK, mais c’est la dernière fois… Promis !

Il me fait son regard d’ange puis de guerre lasse ...

... accepte notre marché.

— OK pour la dernière fois, ma belle.

Puis, autant il a usé de tendresse pour m’amadouer, il use de force et de puissance pour m’emprisonner dans ses bras, il prend les choses en main pour ainsi dire. Il me roule une pelle vorace, m’empoigne par la fesse, me soulève, me plaque contre le mur puis entreprend de me manger, il descend le long de mon chemisier qu’il ne prend pas la peine de dégrafer, il atteint mon nombril et ôte le premier des deux boutons de mon jean. Puis, à travers le tissu de ma tunique, il attrape mes seins et les caresse. Je sombre dans un océan de bien-être, je ferme les yeux pour mieux ressentir les caresses prodiguées soit par sa bouche, soit par ses mains puissantes.

Tout ça m’a excitée et a réveillé la chienne qui sommeille en moi, je mène dès lors mon élève dans la chambre pour me faire baiser. Lorsque je suis comme ça, j’aime le sexe brutal, animal. Je le jette sur le lit et m’installe à califourchon sur lui. Il y a le feu, j’ai le feu qui embrase mon corps, certains diraient, j’ai le feu au cul !

Je suis sur un petit nuage, heureuse on ne peut pas plus. Nous sommes brûlants de désir l’un pour l’autre, prêts à assouvir les pulsions de nos corps enfiévrés. Nous jetons nos vêtements au sol comme si c’étaient eux qui nous brûlaient. Nous sommes nus, face à face sur le lit, sa verge est déjà bien tendue.

C’est la dernière fois que je vais profiter de cette belle queue alors je prends le temps de bien la regarder avant de ...