Le parfum de l'interdit - Histoires de Sexe

Le parfum de l'interdit

... m’en saisir et commencer par la masturber. Son gros gland sort de son magnifique fourneau, je me souviens de la première fois que je l’ai vu, je me souviens à quel point j’avais été impressionnée, maintenant, alors que je m’en suis par maintes fois repue, je suis toujours autant en extase devant sa beauté.

Arrive le moment où je ne peux plus résister, j’approche mes lèvres et le lèche depuis ses grosses couilles jusqu’à la pointe de son gland, je le gobe, commence un va-et-vient assez lent, ma langue le titille et tourne autour, il commence à gémir

— Hmmmm, c’est bon, oui c’est ça.

Puis, il attrape ma tête, s’enfonce dans ma bouche pour que je fasse une gorge profonde et impose son rythme, comme souvent rapide, violent. De nouveau, je suis une proie, sa proie, mais une proie consentante.

Tandis que je le suce, mes doigts chatouillent mon petit minou humide. Kevin le voit et me dit :

— Viens sur moi, ma belle, j’ai envie de te brouter le minou tandis que tu continues de sucer ma grosse queue !

Un 69 ? Et plutôt deux fois qu’une ! Je m’installe sur lui, ma petite chatte sur son visage. Il plonge, affamé, entre mes fesses, sa langue se fraie un passage et atteint sa cible. Le contact humide sur mes lèvres vaginales m’envoie une onde électrique qui se propage dans tout mon corps.

— OOOOHHHHH !

Puis s’ensuit un dialogue insensé :

— Huuuummmm…
— MMMMMmm !
— HUMMMM slurppp…
— Slllllluuuuuurpppp !
— Mmmmmmmmuuuuuuu !

Sa bite a pris ses dimensions ...

... de compèt', j’en ai trop envie, je ne peux plus attendre, je ne veux plus attendre ! Il est sur le dos allongé, je me place au-dessus de lui, je guide son gros gland vers ma fente. De mes mains, j’écarte mes lèvres intimes pour mieux commencer à descendre doucement le long de son poteau. J’ai beau avoir l’habitude, de devoir m’empaler sur toute la longueur ne se fait pas aussi facilement que ça ! Une fois bien installé dans mon ventre, il commence à me limer avec ardeur. Il m’attrape par les hanches et commence à me soulever comme il le ferait d’une poupée puis me laisse retomber dessus, je m’empale littéralement.

Heureusement que mon vagin est bien lubrifié par la mouille qui coule avec abondance et qui vient goutteler sur ses grosses couilles ! Je resserre les muscles de mon vagin, je veux qu’il reste en moi, j’essaie de l’emprisonner.

Kevin est en train de m’exploser la minette, je crie de bonheur, j’ai une pensée pour mes voisins, septuagénaires qui ne bougent jamais de chez eux ! Ils doivent tout entendre ! Il frappe violemment le fond de ma vulve avec sa grosse bite, cette bite que j’aime tant avoir en moi !

— Je te sens dans mon ventre, mon chéri ! Aaahhhh ! Vas-y bébé, déglingue-moi ! OOOOHHH, je sens que je vais jouir ! Ta salope de prof va jouir sur ta grosse queue !

Ces mots lubriques lui font redoubler d’intensité, nous nous retournons, j’enroule mes jambes autour de son corps, je pleure, je pleure de bonheur, la jouissance m’en fait pleurer, c’est une ...