1. Le facteur - semaine 2


    Datte: 27/03/2024, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, gros(ses), grosseins, groscul, bain, campagne, Oral pénétratio, journal, occasion, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... effectivement une vraie différence entre elles et je pouvais les reconnaître. La vulve d’Alice était toute rose et parfaitement épilée tandis que Célia avait une petite touffe sombre qui cachait l’animal. C’était un spectacle fascinant et je restais sans voix à en profiter.
    
    — Alors ? dit Célia.
    — Alors ? dit Alice.
    — Alors vous êtes très jolies, répondis-je.
    — Mais qu’il est bête ! cria Alice.
    — Quel empoté ! cria Célia. Ce qu’on veut savoir c’est laquelle tu préfères.
    — Est-ce que tu aimes les minous tout lisses ? dit Alice.
    — Ou est-ce que tu aimes les petites poilues ? dit Célia.
    — Moi j’aime tout, dis-je. C’est une vraie torture vos exhibitions.
    — Oh si ça ne te plaît pas….
    — Oh si tu ne veux pas choisir….
    
    Elles se reculottèrent aussitôt et me lancèrent des regards noirs.
    
    — Va-t’en, Antoine ! Tu n’auras plus rien tant que tu n’auras pas choisi.
    — On va encore se disputer toute la semaine jusqu’à ce que tu reviennes. C’est malin !
    — Quand tu auras décidé qui tu veux, tu pourras revenir et on te donnera tout. Allez ! fiche le camp !
    
    Et elles me poussèrent dehors. J’avais toujours l’impression d’être un idiot total. Je ne savais pas ce que voulait dire : choisir. Je ne voulais pas de relation suivie avec une de ces deux furies. Mais je voulais bien me glisser dans ces petites fentes bien dessinées. Je ne m’étais jamais demandé si j’aimais les chattes poilues ou épilées. Voilà un nouveau sujet de réflexion qui me tint jusqu’à la fin de la tournée. ...
    ... Sophie s’épilait-elle ? Et Mathilde ? Et Suzanne ? Une fois de plus la tête me tournait.
    
    Je rentrais ainsi au village, excité et perdu, je ne me sentais toujours pas une âme d’étalon et je cherchais toujours une relation « approfondie ». Avant de rentrer, je décidai de faire quelques courses à la superette en vue de préparer un repas pour Suzanne. Je l’avais évitée hier et sa compagnie me manquait un peu.
    
    J’étais au rayon fromage quand je vis passer à côté de moi, sans me remarquer, la petite Mathilde Lovinas. Elle me fit le même effet que la première fois. Le coup de foudre. Elle avait une beauté évidente, de si grands yeux, une bouche charnue, naturellement colorée, des cheveux sombres coupés au carré, un cou de cygne. Je pris le temps de la suivre un peu dans le magasin pour mieux l’observer. Elle avait une petite jupe de rien sur des cuisses blanches et bien dessinées. Elle ne devait pas passer son temps à bronzer. En haut, elle avait un simple débardeur, un soutien-gorge blanc rempli par des petits seins qui la précédaient fièrement. Cette fille ne voulait pas de moi simplement parce que sa mère l’agaçait. J’avais peut-être la chance de me présenter à elle sous un meilleur jour. Finalement, je l’abordai avant qu’elle arrive à la caisse.
    
    — Bonjour, mademoiselle Lovinas. Je suis le misérable facteur qui a voulu vous inviter au cinéma samedi.
    — Ah, dit-elle, gênée. Bon, tu as vu que je ne suis pas venue. Ce ne sera pas la peine de renouveler, je n’aime pas sortir.
    — ...
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