Le facteur - semaine 2
Datte: 27/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
journal,
occasion,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... Pas grave, Sophie habite ici, elle, elle t’emmènera, hein Sophie ?
Sophie était toujours gênée, mais elle acquiesça et nous avons rendez-vous à dix-huit heures sur la place vendredi. La petite blonde s’appelle Marie et elles me plaisent toutes les deux. Il suffit peut-être que je fasse une croix sur Mathilde et je vais rencontrer plein de filles plus intéressantes qu’elle.
De retour à la maison, j’ai filé dans ma chambre. L’idée de croiser Suzanne et de lui mentir au sujet de ma journée me déplaisait trop. Ou Suzanne me plaisait trop peut-être. J’étais sensé être mieux maintenant que j’avais déversé une tonne de foutre dans le con de la sorcière mais ce n’était pas le cas. Je me sentais comme un étalon en rut parqué dans son enclos. Il suffirait peut-être que je croise Suzanne à moitié dévêtue pour que je la viole.
Mardi
J’étais parti ce matin plutôt en forme. J’avais dormi comme un loir et je pensais pédaler joyeusement jusqu’au soir. C’est plus ou moins ce qui est arrivé, avec une courte halte dans le lotissement, chez ces diablesses de jumelles.
Je n’avais pas de courrier pour elles mais pour leur voisine, la vieille dame qui habite le rez-de-chaussée de la même maison. Pour aller sonner chez elle, je devais donc traverser le jardinet devant la maison. Et Alice(ou Célia, à ce moment-là, je ne savais pas à qui j’avais à faire) était là, dans une chaise longue sur la pelouse, vêtue uniquement d’un bas de bikini minimaliste.
C’était un spectacle plutôt ...
... séduisant, toutefois je ne voulais pas m’arrêter parce qu’avec elles je me sentais toujours idiot. La jeune femme bronzait, les yeux fermés et j’espérai un instant passer en douce à ses côtés. C’était sans compter sans sa sœur qui sortit sur le balcon et m’appela joyeusement. Du coup, l’allongée ouvrit les yeux et s’écria :« Youpi ! de la visite ! ». Impossible de s’esquiver.
Je fus évidemment invité à entrer chez elles, à boire un verre de jus vitaminé tandis qu’elles papotaient de tout et de rien et que j’étais muet, regardant avec envie leurs corps de sportives presque nues.
— Antoine, tu sais qu’on parle souvent de toi quand tu n’es pas là, dit l’une.
— On se dit, il est mignon, je le voudrais comme petit ami.
— Et bien sûr, l’autre n’est pas d’accord. Elle dit : « je l’ai vu la première ».
— Et puis on se dispute.
— Alors on se demande laquelle de nous deux tu préfères.
— Après, on se dit, nous sommes bêtes, il n’en préfère aucune, il est incapable de nous reconnaître.
— Alors on a décidé un truc.
— Tu mérites de connaître notre secret.
— Attention ! C’est un vrai secret, on te demande de n’en parler à personne. Tu jures ?
— Je jure, dis-je un peu hébété.
— Le secret, c’est : Alice est lisse.
— Quoi ? demandais-je peu élégamment.
— Regarde !
Et elles baissèrent en même temps leur bas de maillot de bain, le laissant coincé au niveau de leurs genoux. Comme la dernière fois, elles mirent leurs mains derrière le dos et attendirent mes réactions. Il y avait ...