Le facteur - semaine 2
Datte: 27/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
journal,
occasion,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... dernière chance d’arrêter ça en décidant Mathilde Lovinas à démarrer une relation sérieuse. La côte était toujours aussi raide et la chaleur montait en fin de matinée. À l’intérieur, j’étais bouillant de stress.
J’ai frappé, une constante depuis le début de ce travail, et c’est encore la maman qui m’a ouvert. Je lui ai dit que j’avais une lettre à remettre en mains propres à Mathilde et elle s’est désolée pour moi. Sa fille était comme à son habitude enfermée dans sa chambre et Mme Lovinas ne se sentait pas capable de la faire sortir. J’ai inspiré profondément et j’ai plongé : je lui ai demandé si elle m’autorisait à monter et à déranger sa fille moi-même, laissant entendre que je réussirais peut-être mieux qu’elle. Elle soupira et me laissa passer.
Sur ses indications, je trouvai vite la porte de la chambre de Mathilde. Je pris le temps de reprendre mon souffle et frappai. Un« Quoi ? » désagréable me répondit aussitôt. Alors plutôt que de tenter de m’expliquer à travers une porte fermée, j’entrai. C’était quitte ou double mais je pariais alors pour quitte. Mathilde était allongée sur le ventre sur son lit, en teeshirt informe et petite culotte blanche. Elle avait un très beau cul. Et des yeux verts.
— Bonjour Mathilde, dis-je sur ma lancée, avant qu’elle ait le temps de réagir. Tu as un admirateur qui t’a écrit une lettre et je voulais être sûr que tu puisses la lire. Tiens, et à bientôt.
Et j’ai filé aussitôt, essayant de ne pas entendre ses cris de rage ...
... tandis que je dévalais l’escalier.
— Maman ! Pourquoi tu l’as laissé entrer ?
Depuis, j’attendais un appel, un SMS mais rien. Il était 23 heures et je n’avais plus d’espoir. Maintenant, je trouvais ma lettre inepte. Cela n’avait aucune chance de réussir.
Mais reprenons le récit de la journée qui était loin d’être finie.
En rentrant, je désirais prendre une douche et me reposer avant mon rendez-vous avec Sophie sur la place à 18 heures pour cette fameuse réunion de cinéphile. Mais en passant devant le salon, j’ai été interpellé par Suzanne.
— Antoine ? a-t-elle demandé.
— Oui.
— Tu fais quoi ?
— Je vais prendre une douche, j’ai transpiré comme un porcelet.
— Je peux venir avec toi ?
J’ai bien sûr accepté. On s’est déshabillé l’un devant l’autre dans la salle de bain. Elle n’avait qu’un petit short de rien et un débardeur sans soutien-gorge. Je bandais déjà.
Il y a eu un moment de gêne quand on s’est retrouvé serrés l’un contre l’autre dans la cabine, puis je l’ai embrassée en la prenant dans mes bras et la gêne a disparu. Elle a ouvert le robinet et l’eau s’est mise à couler sur nos corps. Je la voyais nue en plein jour pour la première fois. Son ventre était fripé et son pubis envahi par les poils mais ses cuisses étaient belles et sa taille si fine.
— Ne me regarde pas comme ça, tu me fais peur, dit-elle. Tu me savonnes ou je te savonne ?
— Je commence, ai-je dit, parce que si elle commençait à me caresser, j’allais avoir du mal à ne pas ...