Véronique
Datte: 26/03/2024,
Catégories:
fffh,
asie,
extracon,
vacances,
Collègues / Travail
collection,
amour,
miroir,
caresses,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... pas en quelques heures… Ce ne sont pourtant pas les occasions qui m’ont manquée, je ne sais pas ce qui me retenait, je ne sais pas plus ce qui ne m’a pas retenue aujourd’hui…
— Vous regrettez ?
— Pas du tout. Je m’interroge, simplement.
— Dans tous les cas, vous aurez des vitres à faire, dis-je en montrant le miroir de l’armoire.
— Ah surtout pas ! Tant que les mouches ne seront pas collées dessus, je garderai ces traces comme un trophée que je contemplerai du fond de mon lit.
— En vous masturbant.
— Pourquoi dites-vous ça, même si c’est vrai ?
— Réaliste, vous dis-je. Allez, reprenons nos jeux jusqu’au bout.
— Chouette !
Je nous débarrasse de nos flûtes et la repousse sur le dos, plongeant entre ses cuisses pour aller butiner son buisson ardent. On dit que les rousses ont une odeur forte, pas vrai, du moins, pas celle-ci. Je fouille son sillon de ma langue agile, du clitoris à l’anus et retour, m’attardant parfois dans son vagin, aspirant petites lèvres ou petit bouton. Longtemps, mes doigts sont restés à rouler la pointe de ses seins, et puis ils sont venus au secours de ma langue fouiller plus loin ses orifices. Elle gémit par moments, le souffle court et les muscles contractés par saccades. J’aime sa sensibilité, c’est un petit stradivarius de l’amour. Ce qu’elle ne supporte pas, du moins pas longtemps, c’est l’aspiration du clitoris conjuguée au malaxage de la face interne du vagin, en fait la racine du clitoris. C’est « Oh ! Oh ! Oh ! » et, quatre – zéro. ...
... Il faut battre le fer tant qu’il est chaud, je me redresse sur mes genoux et enfile mon sexe bien regonflé dans sa grotte. Elle écarte grand les cuisses, mais referme ses jambes autour de moi, ses talons dans mes fesses, contrairement à mes Japonaises qui s’ouvrent complètement en « M ». Différence de culture ou d’habitudes. Je l’invite à se redresser pour bien contempler ce qui la pénètre, puisqu’elle aime ça. Il faut dire qu’elle est si mince et son ventre si plat que l’on voit la bosse légère de mon sexe dans ses entrailles. C’est étonnant. J’y pose ma main, mon sexe la sent. Je la laisse en place n’agitant que le pouce sur son clitoris.
— Occupez-vous de vos seins, s’il vous plaît…
Elle retombe en arrière et s’exécute, mais elle est déjà rouge et essoufflée. Quand je prends l’une de ses chevilles de ma main libre pour butiner la plante de son pied et sucer ses orteils minuscules, elle supplie :
— Ah non ! Pas les pieds, pas les pieds, ça me rend folle… !
Je saisis donc l’autre cheville et lui bouffe les plantes des deux pieds en continuant de la limer imperturbablement. Elle lâche ses seins pour frapper le lit, se tortille en tous sens autour de mon pivot de chair rigide, devient écarlate et se redresse à demi en émettant des « Crrrrrrrrrrrrrrrrr….. ». Ses jambes comme un pantographe, mon visage entre ses petons, je la pilonne plus sévèrement en me penchant sur elle, ses pieds sur mes épaules, en appui sur les mains. Cette avancée relève ses fesses que je ...