Véronique
Datte: 26/03/2024,
Catégories:
fffh,
asie,
extracon,
vacances,
Collègues / Travail
collection,
amour,
miroir,
caresses,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... tamponne de tout mon poids. Sa sueur n’est plus une buée, mais de vraies gouttes constellent son front, son menton et son entre seins. Je me laisserais bien aller, mais j’ai encore un petit fantasme à satisfaire. Accélération, glapissements, tétanisation, véritable cri qui résonne dans la grande pièce. Cinq – zéro, donc, pour ce petit bout de femme maintenant ramassé en fœtus qui murmure :
— Il est fou, il est fou, il va me tuer…
— Meuh non ! On ne meurt pas de faire l’amour, sauf le président Félix Faure, mais il s’était dopé !
— Et si j’étais cardiaque, mon cœur cogne comme un malade…
— Faites voir ?
J’en profite pour lui masser fermement le sein gauche et lui sucer le droit. Je ne m’étais pas encore vraiment appesanti sur ses glandes mammaires, pourtant fort mignonnes, juste de quoi remplir la main d’un honnête homme, et d’une tenue assez remarquable pour sa petite quarantaine. Surtout lorsqu’ils sont excités comme actuellement. Plus je les agace, plus ses bras ont des mouvements réflexes de protection qu’elle tente de contrôler, mais n’y parvient que partiellement. Ce jeu de « poulette en frayeur » montre combien ses tétons sont sensibles et méritent un travail plus approfondi, notamment en début de parcours. Ce n’est plus vraiment le cas, j’y reviendrai une autre fois. Pour l’heure, je me contente de suivre mon idée. Je la retourne, la soulève et la repose à quatre pattes, parallèle au bout du lit. Son joli croupion me fait face, bien ouvert, sa vulve bien ...
... dilatée saillante entre le haut de ses cuisses. Je m’amuse quelques instants à forcer mon gland à parcourir son sillon, à lui fouetter les fesses avant de la pénétrer doucement. C’est vrai qu’en levrette on va loin, plus loin, très loin, et que ses chairs sont d’autant plus étirées. Elle subit l’assaut, les épaules creusées sur ses bras tendus, la tête pendante. Je me retire et reviens, toujours lentement. La pression de mon piston dans son étroit conduit produit des échappements humides. Mais ce que je vois dans le miroir est sublime, ce petit cul tout rond, tendu vers ma verge dilatée qui semble disproportionnée, trop grosse, et qui entre pourtant sans dommage. Je l’invite au spectacle, elle tourne la tête.
— Rhôôô… comme c’est beau ! Comme c’est fantastiquement animal… Vous savez à quoi ça me fait penser ? « La guerre du feu » de Jean-Jacques Annaud, vous savez, avec la petite femme aux peintures rituelles. J’ai l’impression d’être cette petite femelle aux mains du puissant chasseur mû par le puissant désir de la reproduction…
— Je vois bien, un petit bout de femme qui jacasse tout le temps et trois gros abrutis à peine descendus de l’arbre, merci beaucoup…
— Ha-ha-ha ! Non, mais regardez ça, cette énorme poutre de chair dure qui pénètre en moi. C’est d’une beauté sauvage fantastique. J’ai toujours trouvé ce film terriblement érotique. Pas vous ? Et ces grosses bourses gorgées de semence brûlante qui ne demande qu’à se déverser dans le ventre tout chaud de la petite ...