1. Véronique


    Datte: 26/03/2024, Catégories: fffh, asie, extracon, vacances, Collègues / Travail collection, amour, miroir, caresses, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... mouvements, jamais désordonnés, elle tourne la tête et cherche ma bouche pour un baiser au vol.
    
    — C’est fantastique de voir en faisant, vous savez ? Les sensations sont multipliées par dix.
    — On change de sens ? Vos fesses sont tellement mignonnes, je vais me mettre un peu de côté…
    
    Ah, c’est pas mal non plus ! Ses bras autour de mon cou, elle tend le sien pour mieux regarder en murmurant :
    
    — Rhôô ! Ce que c’est beau de se voir faire l’amour avec un beau mâle…
    
    Je lui fais sucer mon majeur, elle a l’air de se demander pourquoi, puis je le place sur sa rosette palpitante. Surprise, elle commence par dire :
    
    — Oh non, non… Oh… Oh… OH… Oh si, oh oui… Oh, c’est bon… Oh, je vais jouir encore…
    
    Et bingo, deux : zéro ! Je ne suis pas pressé, j’ai tout mon temps, et comme elle dort peu, amusons-nous. Cette fois, je me lève avec elle toujours empalée, mes mains sous ses fesses. Elle m’enserre le cou de ses bras et la taille de ses cuisses, je la soulève un peu pour l’embrasser goulûment et m’approcher du miroir, de profil. Mes testicules gouttent de son suc maintenant abondant. Nous sommes si proches du reflet qu’aucun détail ne nous échappe, et désormais elle se laisse pénétrer à fond, sans en souffrir apparemment. Mais pour moi, c’est très excitant de sentir mon gland repousser ses chairs tendres et la boule plus dure du col de l’utérus qui frotte le long de mon extrémité. Avec un certain narcissisme, elle se tourne et se retourne pour n’en rien perdre, jusqu’au ...
    ... moment où elle lâche mon cou pour s’adosser à la vitre et me laisse la bourrer longuement à grands coups de reins. Trois – zéro. Quand je la retire pour la déposer sur le lit, le miroir porte les traces de sa sueur, sa silhouette en buée de sa chaleur, et une large zone d’éclaboussures vaginales. Superbe tableau éphémère que nous admirons ensemble, avant qu’elle ne retombe épuisée :
    
    — Oh, je n’en peux plus…
    — Ah si ! On vient juste de commencer. Après les hors-d’œuvre vient le plat de résistance.
    — Tiens, justement, si on buvait quelque chose, j’ai soif. Il y a une bouteille de champagne au frais.
    — J’y vais.
    
    C’est vrai que ça fait du bien quand on commence à avoir chaud, surtout à elle qui a bonne mine.
    
    — Pfffff… ! Et dire que je ne soupçonnais pas votre existence ce matin. Je dois vous paraître… une femme facile. Qu’allez-vous penser de moi ?
    — Oh rien du tout. Du moins pas en ce sens. Pourquoi dit-on « femme facile » et jamais « homme facile » ? Moi je pense toujours à l’inverse, à l’expression « coureur de jupons ». S’il n’y avait pas de jupons à courir, les coureurs s’arrêteraient vite. Non, je crois juste que des personnes sont attirées l’une vers l’autre, on ne sait pas trop pourquoi, phéromones, vies antérieures, que sais-je encore… Ils peuvent mettre des années à tourner autour du pot ou quelques minutes, mais au bout du compte, ça revient au même. Vous ne croyez pas ?
    — Oui, sûrement… ça me rend toute chose… Rester seule des années et puis hop, sauter le ...
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