1. Véronique


    Datte: 26/03/2024, Catégories: fffh, asie, extracon, vacances, Collègues / Travail collection, amour, miroir, caresses, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... vous faudrait une crème apaisante et surtout ne rien porter dessus.
    — C’est cela, oui, sortir cul nu, par exemple.
    — Tout à fait, sous une petite robe légère, et moi seul saura qu’il n’y a rien dessous.
    — Et ça vous excitera, bien entendu.
    — Bien sûr, et si on trouve un coin tranquille, vous apaiserez mon excitation avec vos jolies lèvres.
    — Quel insatiable gourmand !
    — Vous pouvez parler.
    — Oui, c’est vrai. Mais au fait, il ne faut pas perdre de temps, vous partez quand ? Ce soir ? Demain ?
    — Eh non, vendredi seulement.
    — C’est vrai ? Merveilleux !
    — Je me suis dit que nous n’allions peut-être pas – ou peu – nous voir de l’été, alors qu’il me fallait quelques jours pour profiter de vous.
    — Ça, c’est gentil. La perspective de l’été, moins… Enfin, on fera avec.
    — Oui, mais même pour la suite, je ne sais pas quel prétexte je trouverai pour revenir vous voir, maintenant que les travaux sont terminés.
    — On verra bien… Les marées et la pêche à pied, aménager une piscine, je ne sais pas, moi…
    
    Après un déjeuner copieux, une belle promenade s’impose. Nous montons vers Donville pour redescendre vers les plages par Saint Clair, Bréville et son golf avant de rejoindre Granville et le Plat Gousset par la côte à marée basse. Une douzaine de bornes au bas mot. Elle a mis des sandales plates pour mieux marcher, elle est encore plus petite, nous nous tenons par la main comme deux écoliers. La friponne a fait comme je lui ai dit, sans culotte sous sa robe de ...
    ... cretonne, ce que je vérifie à plusieurs reprises avec délectation. Les routes ressemblent plutôt à des chemins creux goudronnés où pas un chat ne circule. Elle peut donc m’apaiser comme nous l’avons également prévu. C’est bien sûr juste à ce moment-là que passe l’unique voiture de l’après-midi, mais Véronique ne se décontenance pas le moins du monde. Elle se redresse juste et m’enlace, cachant l’objet du délit dans les plis de sa jupe. Sur la plage, la brise de mer joue au vent fripon, Véro prend garde à ton jupon, et soulève la jupette à plusieurs reprises. La première fois, elle plaque l’étoffe contre ses jambes à demi pliées, puis voyant qu’il n’y a personne sauf quelques mytiliculteurs bien occupés sur leurs bouchots, elle laisse faire le zéphyr et en ricane. Scènes délicieuses, petite silhouette svelte et si féminine, tenant ses sandales du bout des doigts et jouissant du plaisir de fouler pieds nus le sable encore humide, riant de faire quelques pas dans l’eau encore trop fraîche. Je veux revenir dans ma villa pour en profiter un peu et passer quelques instants paisibles sur une chaise longue sous la véranda, attendant le coucher du soleil.
    
    — Tiens, demain soir j’irais bien dormir à Chausey…
    — Oh oui, quelle bonne idée ! Ça peut paraître idiot alors qu’on a tout ce qu’il faut ici, mais ça me ferait vraiment plaisir.
    — Eh bien, c’est dit.
    — Euh… j’ai également apporté des paperasses moins sympathiques… les factures !
    — Hélas, il faut bien les honorer. Faites voir ...