Véronique
Datte: 26/03/2024,
Catégories:
fffh,
asie,
extracon,
vacances,
Collègues / Travail
collection,
amour,
miroir,
caresses,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... je veux de cette petite poupée légère comme une plume, et elle ne peut m’empêcher d’aller lui dévorer la vulve et le clitoris. Elle est déjà couverte de sueur avec des yeux de cheval fou quand je la pénètre et la laboure à grands coups de reins. Ses orgasmes s’enchaînent, ou peut-être même ne s’interrompent-ils pas ? Elle est hors d’elle, incontrôlable, rageant, griffant, je dois la retourner pour que mon dos échappe à ses ongles acérés. Levrette endiablée que je la force à regarder dans le miroir en la maintenant par sa crinière de feu. Puis je veux changer d’orifice, elle se crispe et se refuse, je lui claque violemment les fesses, elle cède. Je continue à laisser la marque rougie de mes mains sur ses fesses délicates, à chaque fois elle se redresse d’un coup de reins et se laisse retomber en frappant le lit de ses poings fermés. Dressé sur mes jambes, je me laisse retomber lourdement sur son petit anneau distendu tandis que ma main passée sous elle tapote et frotte énergiquement son clitoris et sa vulve plus baveuse que jamais, l’autre main part en chasse de ses tétons agités pour les presser fortement. Elle crie, gémit, pleure, implore, supplie, mais rien ne m’arrête. Je me revois, tentant de dégoûter ma belle-sœur, avec le résultat que l’on connaît. Au bout de longues minutes, quand sa voix déraille et que le souffle lui manque, je trouve que le traitement a assez duré et je ne peux plus guère me retenir. Je la saisis aux deux hanches pour la projeter sur ma queue ...
... encore quelques fois, le temps que mon plaisir monte et lui fouette l’intérieur. Elle se dresse avec un visage terrifiant, déformé par le plaisir et la douleur. Je la jette sur le lit et cours me laver. Quand je reviens, elle gît dans des flaques de larmes, de sperme et de cyprine, encore des draps à changer. Mais elle semble apaisée, presque endormie, je la recouvre délicatement et vais m’habiller. Je sors faire quelques courses, tranquillement, la laissant se reposer et reprendre ses esprits. Un petit tour au magasin bio où l’excellent boucher me découpe deux belles tranches de gigot de prés salés, un bocal de haricots, deux ou trois premières tomates et un bouquet de persil, et puis un pain succulent croquant à souhait à la boulangerie rose avec un camembert en croûte. J’adore. Je la retrouve levée, lavée et habillée, presque fraîche malgré des cernes de reconnaissance. Elle vient se pendre à mon cou et m’embrasse paisiblement.
— Ça va mieux ?
— Oui, bien. Je crois que c’est fini. Mais quelle horreur ! Comme quoi trop de plaisir tue le plaisir.
— Oui, je ne sais pas ce qui s’est passé, dans nos ébats d’hier peut-être êtes-vous restée bloquée en chemin, sur un orgasme inachevé ?
— Je ne sais pas, je n’en ai pas l’impression, ou le manque a été trop long. En tout cas, vous avez fait ce qu’il fallait, même si ce fut rude. Pour cet après-midi, en tout cas, rien d’assis, j’ai le derrière démoli…
— Une balade sur les plages, peut-être ?
— Oui, et encore, le frottement…
— Il ...