1. Véronique


    Datte: 26/03/2024, Catégories: fffh, asie, extracon, vacances, Collègues / Travail collection, amour, miroir, caresses, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... d’appui avec des panneaux d’acrylique, pour que les jeunes enfants ne puissent pas tomber, et j’ai fait pareil tout au long de la falaise. Il n’y avait qu’une lisse vieillotte sous laquelle ils pouvaient passer aisément.
    — Parfait, vous pensez à tout.
    — C’est mon métier.
    — Vous le faites merveilleusement bien.
    
    Nous nous couchons et, comme à l’habitude, je veux glisser mon pénis en elle, aimant bien dormir ainsi. Dès que je la touche, elle tressaille.
    
    — Vous ne voulez pas… ?
    — Si si, allez-y…
    
    Quand je mets mon organe dans le sien, elle est prise de convulsions. Je n’en jurerais pas, mais ça ressemble fort à un orgasme, comme ça, sans prévenir… Bizarre. Je m’endors et suis réveillé plus tard dans la nuit par de nouveaux épisodes identiques, et dans un demi-sommeil, je ressens même un va-et-vient de ses doigts sur son clitoris, mais peut-être ai-je rêvé ? Au matin, je m’éveille avec la sensation d’avoir le ventre tout trempé. Je tâte, c’est bien cela, et le lit est trempé aussi. Je soulève délicatement la couette, pour vérifier que ce ne soit pas du sang, mais non, tout semble normal. Je sors d’elle pour me détendre sur le dos. Aussitôt, elle tressaille, semble paniquée, et vient vite s’enfiler sur moi avant de se rendormir sur ma poitrine. Quand elle se réveille enfin, me laissant à mon ankylose, elle file à la douche et va préparer un café. Je me douche aussi puis la rejoins, cherchant un petit baiser matinal ou au moins un sourire. Elle se dérobe, le nez dans sa ...
    ... tasse.
    
    — Véronique, s’il vous plaît dites-moi ce qui se passe. Je culpabilise sans rien comprendre…
    — Vous… vous n’êtes pas en cause, c’est moi. Je ne vais pas très bien en effet… Je ne sais pas trop ce qui m’arrive…
    — Ah ! Vous n’avez pas perdu la parole, c’est déjà bien. Alors, expliquez-moi ce que vous ressentez, ça doit porter un nom et pouvoir se soigner, non ? C’est psychologique ou physique ?
    — Essentiellement physique, mais peut-être pas seulement. C’est… compliqué, gênant à dire…
    — Venez dans mes bras et racontez-moi tout.
    — Justement, je ne peux pas, enfin, si, mais… Je ne suis pas revenue, je n’arrive plus à revenir…
    — Euh… oui, bien sûr, mais d’où ?
    — De l’orgasme, chéri, je suis en orgasme permanent, ou presque. Vous savez, cet instant magique qui précède juste l’explosion… Mon corps est comme un gigantesque clitoris. Vous me regardez, vous me touchez, et hop ! Je pars en jouissance… et ça ne s’arrête pas… c’est très paniquant, je ne contrôle plus rien.
    — Ah ben ça… Première fois que je vois ça. Faites voir ?
    
    Je la prends sinon de force, du moins avec détermination, dans mes bras. Soubresauts et tétanie s’emparent d’elle instantanément. Je n’en tiens pas compte et la porte sur le lit, ouvre son peignoir et me jette sur ses seins, bouche grande ouverte. J’aspire, je tète, je suce, elle se tord en tous sens, me frappe des poings et des pieds, mais à ce jeu-là j’ai l’avantage de la catégorie de poids. Elle a beau se débattre et crier, j’en fais ce que ...
«12...293031...34»