Véronique
Datte: 26/03/2024,
Catégories:
fffh,
asie,
extracon,
vacances,
Collègues / Travail
collection,
amour,
miroir,
caresses,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... et l’embroche en l’accrochant à mon cou. Je vais jusqu’à la chambre « adulte » et la laisse tomber au bord du lit. La position est idéale pour dévorer sa vulve et lui procurer un nouvel orgasme. Puis je place ses chevilles sur mes épaules, enfilant d’abord sa grotte d’amour avant de déporter mon sexe gluant de cyprine vers sa rosette qui cède sans résistance. Délice sans mélange dans cet étroit conduit qui se contracte sporadiquement. J’accompagne mon intromission d’une excitation vigoureuse du clitoris. Était-ce bien utile ? J’en doute en la voyant déjà repartir au septième ciel m’entraînant dans son sillage. Je jouis abondamment en elle, elle hoquette de bonheur.
— Vous n’imaginez pas quelle attente il faut subir avant de vivre un instant comme celui-là…
— Plus l’attente est longue, plus l’orgasme est fort, non ?
— On va dire ça comme ça…
C’est blottie contre moi qu’elle m’accompagne au second, voir le « baisodrome 240 », nouvelle dénomination de cet immense lit. Tout a été parfaitement modifié, c’est impressionnant de démesure. Nous sommes redescendus pour aller dîner. C’est là que j’aurais dû commencer à m’inquiéter. Mais je suis bienheureux, les couilles vidées, genre mâle abruti. Je ne remarque pas son attitude un brin ratatinée, son mutisme soudain sans raison apparente, la disparition de son sourire. Je l’emmène dans un restaurant situé sur les falaises de Champaux, dominant le rocher de Tomblaine et, merveilleux au couchant, le Mont. Malgré le fabuleux ...
... spectacle et le dîner délicieux, ma compagne reste tendue, fermée. Sur la route du retour, je m’en inquiète enfin.
— Quelque chose ne va pas, Véronique ?
— Non non, tout va bien…
Peut-être n’ai-je pas été à la hauteur de ses espérances, ou ne l’ai-je pas suffisamment félicitée et remerciée pour le fantastique travail qu’elle a accompli ? Je pose la main sur sa cuisse, elle sursaute comme si c’était un fer rouge.
— Vous savez, nous étions nus et déjà en plein délire amoureux, et je n’ai peut-être pas exprimé suffisamment mon admiration et mes remerciements pour le boulot fantastique que vous avez fait. C’est réellement impressionnant, magnifique, merveilleux. Du jamais vu et vraiment je suis admiratif…
— Merci, mais… j’ai surtout su trouver des artisans exceptionnels. Ce sont eux qui ont fait tout ça. Et d’ailleurs, vous verrez les factures, ce n’est pas donné. Vous ferez peut-être la grimace.
— Non, à réalisation exceptionnelle, prix exceptionnel, c’est normal, je m’y attends. Il n’empêche que le chef d’orchestre et… le « dénicheur de talents », c’est bien vous.
— Merci. Allez, ne soyez pas inquiet pour moi, ça va passer…
Les femmes ont souvent des pensées qui suivent des chemins mystérieux qui ne sont pas les nôtres, pauvres hommes à la pensée basique. Elle retombe dans son mutisme qu’elle conserve jusqu’à l’ouverture de son rideau de fer, puis jusqu’à son appartement.
— Ah si, j’ai oublié de vous montrer qu’aux fenêtres du premier j’ai fait installer des barres ...