Véronique
Datte: 26/03/2024,
Catégories:
fffh,
asie,
extracon,
vacances,
Collègues / Travail
collection,
amour,
miroir,
caresses,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... complète de tous les villages entre Beaune et Marsannay. C’est cadeau ! À l’exception, hélas, de la Romanée-Conty, mais là ce n’est pas dans mes moyens.
— Vous êtes adorable, et vous savez que j’adore le bourgogne. Nous les boirons ensemble. Venez là, que je vous remercie dignement. Car, vraiment, ce que vous avez fait à l’intérieur est aussi beau que le paysage à l’extérieur. Bravo et merci.
Elle s’est approchée, s’est laissée embrasser longuement, s’est accroupie lentement en se coulant avec mille bisous le long de mon torse, puis s’est activée sur mon pénis qui, dans l’intervalle, avait pris une position de semi-repos. Alors elle m’invite à m’étendre sur l’épais tapis mi-soie, mie-alpaga, et vient se placer au-dessus de moi. Ce que c’est beau une jolie femme en contre-plongée ! Ce coquillage au pelage doré en premier plan, ces tétons dressés au second et ce regard vert en disant long sur son désir pour couronner l’image. Les pieds tournés vers l’extérieur, elle fléchit lentement, saisit mon sexe à nouveau dur et, après quelques ajustements, se laisse couler dessus. Lente pénétration dans son étui chaud et humide, prépuce repoussé au maximum, sensation merveilleuse du plaisir annoncé. Elle prend appui sur mes pectoraux et commence sa danse rituelle rythmée par un léger clapotis. Mon regard ne peut se séparer du sien ni mes mains de ses seins durcis. Elle est aussi belle que créative, aussi efficace en amour que dans le travail. Si je la laisse faire ainsi, je vais jouir ...
... bientôt, surtout qu’elle gémit déjà et que c’est très stimulant. J’ai envie que ça se prolonge…
— On ne serait pas mieux dans un lit, dis-je en désignant le plafond ?
— Oui… Attendez…
Sa cadence s’accélère, elle devient écarlate et se crispe soudain, son regard brouillé de rouge. Elle s’extrait à regret de sa position, secouée de quelques spasmes.
— Oh, ce vide insupportable, proteste-t-elle…
Dès qu’elle est désenchâssée, je me lève pour l’aider à se redresser sur ses jambes flageolantes. Elle reprend son souffle, m’embrasse goulûment et prend l’escalier, je la suis, admirant l’orbe parfait de son petit cul et les deux filets de cyprine qui coulent lentement le long de ses cuisses.
— Tiens ? Vous ne portez plus votre bijou anal ?
— Pas besoin, je pense. Je l’ai porté tout le week-end en prévision de votre venue…
Je la retiens avec mes deux mains sur ses hanches, la hauteur est idéale. Je saisis mon pénis et le glisse le long de son sillon, juste le temps de retrouver l’entrée encore béante de sa grotte de plaisir. Oh la belle levrette debout ! Elle se cramponne aux mains courantes, cambre et écarte les pieds, attendant la charge. C’est sublime de la bourrer ainsi, tant son postérieur est magnifique à contempler et à embrocher. Elle glapit sous mes coups de boutoir, je la force à monter une à une les marches à grands coups de reins. Arrivés sur le palier, il devient difficile de continuer ainsi, sans l’écart d’une hauteur de marche. Je la fais se retourner ...