L'après-midi d'un faune
Datte: 25/03/2024,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
couple,
extracon,
nympho,
grossexe,
forêt,
jardin,
fsoumise,
jalousie,
dispute,
Oral
pénétratio,
fsodo,
aventure,
fantastiqu,
fantastiq,
Auteur: Marchandisidore, Source: Revebebe
... quoi ! Une nymphe, une nymphe… une vraie nymphomane plutôt ! Si seulement dans la réalité tu pouvais te lâcher comme ça, je m’ennuierais moins au lit avec toi, dit-il en riant.
D’un œil noir, Julie le toise. Elle ne s’attendait pas à ce qu’avec autant de légèreté cet aveu lui fût fait. Cet affront même. Blessée dans son orgueil, elle ne trouve pas la repartie de lui répondre quand, tout à coup, venant interrompre un commencement de dispute, le « ding dong » de la sonnette de l’appartement retentit.
— Tu attends quelqu’un ? lui dit-elle d’un air chafouin.
— Ça doit être la pizza que j’ai commandée. Pour une fois, ils sont vachement en avance ! Je vais ouvrir.
À la va-vite, Téo enfile un Jeans et un T-shirt et va regarder au travers du judas : c’est en effet le livreur, deux cartons de pizza à la main.
En ouvrant la porte, il tombe sur un grand gars basané à la barbe naissante, avec boucle d’oreille, survêtement Lacoste, baskets Nike, et une montre connectée au poignet. Son style outre périphérique ne collant pourtant pas avec celui de ses fréquentations estudiantines quotidiennes, il a néanmoins le sentiment de l’avoir déjà croisé quelque part.
— Bonjour. Trente-sept cinquante, y a deux tiramisus offerts…
— Je vous règle par carte, dit Téo.
— Désolé, on ne prend pas la carte, c’est en liquide ou chèques restaurants…
— Ha, mince. Attendez, je regarde ce que j’ai… Julie, t’as pas de la monnaie par hasard ? J’ai que cinq euros sur moi…
Tandis qu’il cherche ...
... la présence de quelques hypothétiques pièces de monnaie dans le fond de son portefeuille, Julie apparaît, bras croisés, une épaule posée dans l’encadrure de la porte du séjour dans une attitude « so girly ». Le grand sweatshirt blanc qu’elle porte en guise de vêtement contraste avec le rose de ses cuisses.
— Comme ça, vous ne prenez que le liquide ? Mon copain vient de me dire qu’il s’ennuie au lit avec moi, que je ne suis qu’une planche à pain, dit-elle d’un ton chafouin. J’ai bien envie qu’il vous paie ce qu’il vous doit, mais d’une autre manière.
— Attends, ça va, dit Téo, je n’ai pas dit ça, tu ne vas pas me faire une scène pour ça maintenant ! Arrête !
Gêné par la situation, le livreur fait mine de repartir, mais Julie, remettant à Téo les cartons de pizzas qu’il tient en main, revient vers lui, attrape la bande élastique de son survêtement et le fait descendre jusqu’à ses genoux. Accroupie devant le membre de bonne dimension ainsi exposé à l’air libre, elle le saisit avec douceur et entreprend une masturbation lente et appuyée prenant de plus en plus d’ampleur. Téo croit rêver, il ne reconnaît plus sa petite amie ; juste pour se venger des malheureux propos qu’il eut la légèreté de tenir, elle se met à sucer un inconnu devant lui et le regarde à présent avec de grands yeux provocateurs tandis que le membre durci du livreur commence à lui déformer la bouche.
— Tu as cinq minutes pour aller au distributeur, parce que là j’ai une super envie de ken, lui dit-elle. ...