Clinique Saint Roch 2
Datte: 12/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
médical,
Oral
dominatio,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... plaît.
Nous sommes dans la confrontation directe. Je refuse ses codes et passe outre ses directives.
— Pierre ! Viens dire bonjour au docteur avant de partir.
Un adolescent, 14-15 ans, apparaît.
— Alors c’est vous qui soignez grand-mère. Elle dit beaucoup de bien de vous.
— Votre grand-mère est trop gentille.
— Pierre part rejoindre son équipe de basket(pauvre gosse). À ce soir, mon chéri.
— Au revoir, maman, au revoir monsieur.
— Au revoir Pierre.
Alors voilà le pourquoi du comment. Son fils était encore ici, ou bien elle avait retardé le départ d’icelui… Nous attendons en silence que la porte claque. J’ai intérêt à récupérer le contrôle rapidement sinon je suis foutu.
— Déshabillez-vous !
— Oh !
Elle reste un moment avec la bouche en cul de poule, puis se lève. Elle l’a cherchée, cette expérience, elle ne va quand même pas tout casser au dernier moment. Elle s’extirpe de ses hardes tellement vite que, relevant le nez de ma tasse, je la trouve nue, à la notable exception d’un string microscopique en soie dont le prix doit largement dépasser ma paye mensuelle de FFI. Elle est splendide, j’avoue être ébloui. Elle a de magnifiques seins en poire avec de larges aréoles, des hanches aux courbes sensuelles, un cul bien proportionné sur des cuisses fortes, mais au dessin parfait qu’elle me dévoile en se tournant pour me faire admirer sa chute de reins. Elle a beau avoir quelques fines rides sur le visage et les mains et quelques(très discrets) bourrelets ...
... à la taille, elle n’en est que plus belle. Une pudeur de jeune fille lui a fait placer les bras devant les seins et le pubis. Vénus sortant du sac ? Elle a les épaules courbées et la tête baissée, les yeux mi-clos. Elle semble attendre, vaincue, que je la force, comme une esclave soumise.
Je me lève, j’ai beaucoup de mal à contenir l’objet qui se dresse dans mon pantalon. Je m’approche, redresse sa tête de la main et baise ses lèvres sans chercher à fouiller sa bouche. Elle tremble. Je la prends dans mes bras, la soulève et la dépose sur le canapé. Je suis à genoux. Elle a gardé ses bras comme ultime défense, m’empêchant de caresser son corps. Je les écarte doucement et l’effleure délicatement avec mes lèvres. Puis je me redresse et sors mon membre comprimé. Je l’approche de ses lèvres. Elle l’empoigne d’une main et enfonce le gland dans sa bouche. Sa langue se déplace à petits coups rapides sur mon frein. Je suis obligé de la calmer, sinon la séance serait vite finie. Elle connaît l’art de la pipe. C’est rare. Visiblement, je ne suis pas son premier extra, ou alors son mari était fan. Sa bouche et ses lèvres roulent maintenant sur mon membre. Je n’ai encore jamais été sucé comme ça. Il est vrai que les petites jeunes que j’ai l’habitude de fréquenter manquent notoirement d’expérience.
— Vous aimez ça ?
— Oui, mais c’est parce que vous avez une belle queue.
— C’est pour mieux baiser les cochonnes dans votre genre.
— Oh !
Je la retourne et l’embroche violemment. ...