1. Clinique Saint Roch 2


    Datte: 12/03/2024, Catégories: fh, fplusag, jeunes, médical, Oral dominatio, Auteur: Volovent, Source: Revebebe

    ... Elle pousse un cri de douleur et de surprise.
    
    — Nooon !
    — Si !
    
    Bien calé contre son postérieur splendide, je ne bouge pas. Elle essaie de se dégager(ou plutôt, fait semblant), mais ses mouvements désordonnés n’amènent à rien d’autre qu’à faire grossir un peu plus mon membre. Une claque bien placée sur la fesse la calme. Je commence alors un lent mouvement de va-et-vient, insistant à chaque passage sur le point G. Elle ne résiste pas longtemps, sa main se crispe et griffe le coussin ; je la sens couler le long de ma verge en émettant un feulement significatif. Je lui balance une claque monumentale sur la fesse droite. Elle crie. Je recommence.
    
    — Taisez-vous !
    — …
    — Vous avez l’air d’aimer les queues. Vous allez être servie.
    
    Je sors de sa chatte et lui représente mon membre près de sa bouche. Elle hésite devant l’objet dégoulinant de ses humeurs, puis se jette dessus et pompe avidement pendant que je lui caresse le pubis et la vulve. C’est tellement agréable que j’ai bien envie de la laisser continuer jusqu’à l’explosion finale. Pas facile de réfléchir à ce moment, je cherche une suite qui soit agréable pour moi, tout en conservant le contrôle total de la situation.
    
    Je la mets debout, la soulève dans mes bras, ses cuisses largement écartées autour de mon buste, la plaque contre le mur et la pénètre. Je sais que dans cette position, je rentre tout au fond du vagin, lui offrant des sensations vives. Elle a les yeux clos, la bouche ouverte et s’agrippe à mon cou. ...
    ... J’accélère mes mouvements, car c’est une position difficile à tenir. Cette fois-ci, je la sens partir avec un grand mouvement du bassin. Je ne peux plus me retenir et je jouis en même temps qu’elle. Mon foutre dégouline le long de ses fesses. Elle tremble de partout, se laisse glisser le long du mur et termine en position fœtale à mes pieds. Elle reste un moment ainsi et, pendant que je me rhabille, récupère avec son doigt un peu de mon foutre sur sa cuisse et le lèche délicatement.
    
    Je m’approche, me penche sur elle, prends son menton dans ma main, relève sa tête. Elle a maintenant les yeux grands ouverts. Je lui mets un petit baiser sur les lèvres.
    
    — Je veux vous revoir, nous avons à peine fait connaissance.
    — Oui !
    — Je vous téléphonerai ce soir, à 21 h. Vous serez en petite tenue.
    — Oui !
    — Et pas d’esquive, je vous prie.
    — Oui !
    
    *
    
    * *
    
    Je presse le pas vers la clinique. Je ne peux pas réfléchir en flânant, car alors je regarde les petits oiseaux, l’agitation perpétuelle de Paris, les gens et leurs manies… Cette femme aime la gaudriole, certes, mais on a surtout l’impression qu’elle aime se faire dominer, qu’elle joue et jouit en même temps. Intéressant. On va lui en donner, mais en échange de quelque chose. Le problème est que je ne sais pas quoi. On verra.
    
    La fin d’après-midi passe assez rapidement. J’ai toujours largement de quoi m’occuper avec les dossiers des entrants et des sortants. Je relis les CR opératoires de la veille pour être clair dans ...
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