1. Mahoko


    Datte: 11/03/2024, Catégories: fh, asie, Collègues / Travail amour, rencontre, amouroman, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... jamais au grand jamais je n’aurais la moindre envie de vous faire refaire quoi que ce soit de votre joli corps.
    — En ce cas, aux grands maux les grands remèdes, constatez par vous-même l’étendue du désastre…
    
    Elle se lève, dénoue sa ceinture, et sans autre forme de procès laisse tomber son kimono à terre. Je m’étrangle. Non, ce n’est pas un travesti, mais une telle beauté intégralement nue que ma pomme d’Adam bouscule mes amygdales. D’une blancheur de porcelaine de la tête aux pieds, sans le moindre lupus ou défaut de peau. Des seins magnifiques aux larges embases qui leur permettent de tenir bien droits, seules les aréoles brunes tranchent sur cet océan laiteux, modelé magnifiquement en taille fine, buste en V, hanches galbées, cuisses charnues, toison discrète. Elle devient écarlate et pique du nez vers le sol, couvrant pudiquement sa poitrine d’un bras et son pubis de l’autre main.
    
    — Voilà Jérôme-San. Maintenant, prenez-moi ou partez définitivement et laissez-moi à ma honte.
    
    J’en ai la mâchoire qui tombe, je suis ébloui par tant de beauté. Le choc passé, je me lève à mon tour et je ne sais que faire d’autre que de la serrer dans mes bras. Très fort. Très longtemps. Je ne bande même pas, comme si une telle perfection m’était inaccessible. Sa peau est douce sous mes mains et son corps chaud contre mon corps. Elle sanglote silencieusement, je lui relève doucement le menton.
    
    — Permettez-moi de rester définitivement en vous tenant dans mes bras. Vous êtes l’être le ...
    ... plus merveilleux et le plus délicat, le plus digne d’être aimé que j’ai jamais rencontré.
    
    S’en suit un interminable baiser laissant à nos bouches et à nos langues le temps de faire connaissance et de s’apprivoiser. Le futon de sa chambre, d’une sobriété monacale, portes coulissantes sur le couloir comme pour les placards, tatamis de paille de riz au sol et juste une petite lampe de papier de soie orangé, nous accueille ensuite. Elle est bien plus belle que je ne l’imaginais ; sa peau est bien plus douce et plus sensible que je ne le soupçonnais ; elle se montre plus aimante et plus active que je ne l’espérais. J’ai mis des heures à parcourir de mes lèvres chaque centimètre de sa peau délicate, de la nuque aux orteils. La sublime entrée de sa grotte d’amour, aux petites lèvres ourlées de brun, s’est vue dégustée, léchée, sucée jusqu’à ce que tous les sucs en sourdent à flot continu. Et là, oui, là, je suis entré dans une érection phénoménale, comme si sa liqueur avait soudainement boosté ma virilité. Après que tout son corps se soit tétanisé de plaisir, elle a voulu me rendre la pareille. J’ai vécu le frisson intégral sans cesse réactivé, le désir fou à en éclater. Quand elle est arrivée à mon sexe, elle a murmuré :
    
    — Mon Dieu, jamais… ce n’est pas possible… c’est beaucoup trop gros…
    
    Pourtant, quelques instants plus tard, alors qu’elle m’enlace de ses cuisses ouvertes, nous savons que nous sommes conçus l’un pour l’autre tant ma lame trouve son parfait fourreau et son ...
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