L'île sauvage - Histoires de Sexe

L'île sauvage

... d’abord, s’était aussitôt reprise, et avait sucé les doigts de sa compagne avec un naturel qui avait fait rougir Vanna.

— Toute salée. Oui, oui, j’aime ta mouille. Et toi ? Tu aimes sucer ta mouille Wanna ?
— Non.
— Et si je te dis que si tu le fais pour moi, pour me plaire, ça m’énervera vraiment beaucoup.
— J’aime alors.
— Tu comprends vite ma belle. Tu vas vite tout apprendre.
— Oui.
— Tu t’énerves Vanna…
— Non. Je te dis. J’arrive pas m’énerver.

À la question posée par la rouquine, qui lui demandait si elle s’était déjà caressée, Vanna avait répondu que parfois, elle se touchait un peu. Est-ce que c’était bon ? Comme quand un moustique te pique. Tu grattes et ça fait du bien. Bordel à putes Vanna !

— Je sais Vanna… Tu t’énerves dans le sens où tu es en colère. Il ne faut pas être en colère.
— J’arrive pas Aylin…
— Tu vas y arriver. Peut-être pas ce soir. C’est parfois long. Je te promets que tu y arriveras.
— Je veux être énervée ce soir, moi. Et jouir comme toi. Aylin… Tu fais toi ! Je veux… Tu me fais, avec tes doigts dans mon minou.
— Non ma chérie. Tu dois le faire seule. Plus tard nous deux oui… Si tu en as encore envie. Tu décideras seule… Doucement. Caresse ton bouton. Doucement…

Vanna, sur le dos, jambes ouvertes en compas, se caressait avec une impudeur totale, excitante au possible, et amenant Aylin au bord du viol. Un viol qui n’en serait pas un, la jeune femme ne désirant que cela.

— Aylin… Je veux être énervée très fort comme toi… ...

... Aylin fais, toi ! Tes doigts dans ma minette. S’il te plaît Aylin…

C’était presque un appel de désespoir. L’Irlandaise voulait prendre le temps. Ne rien brusquer, pour que Vanna soit bien sûre de ce qu’elle désirait. C’était d’ailleurs devenu un véritable calvaire pour Aylin. Elle mourait d’envie de tout prendre de Vanna. Comme de tout lui offrir.

— Oh Vanna…

Aylin avait à nouveau allongé Vanna sur la pierre et s’était agenouillée à ses côtés.

— Tu vas me rendre folle, toi.
— Oui. Pourquoi ?
— Folle de toi Vanna. Tu me donnes envie de toi. Une terrible envie.
— Oui, je veux.

La jolie mulâtresse gémissait sans discontinuer, au bord de l’asphyxie. L’orgasme pourtant ne venait pas. Elles étaient toutes les deux trempées. De leurs sueurs, comme de leurs mouilles. Vanna ne parvenait pas à jouir. Aylin avait pris la main de la jeune femme dans la sienne et avait mêlé ses doigts aux siens.

— Aylin… Aylin…
— Calme-toi ma chérie. Attends un peu…

L’Irlandaise savait parfaitement qu’il valait mieux parfois ne pas insister. Vanna, elle, insistait avec son entêtement habituel. L’idée d’Aylin était ce qu’elle était, mais avait quelques chances de réussite.

— Tu vas me prendre fort avec tes doigts. Aussi fort que je prendrai ta petite minette… Tu veux bien ?
— Oui. Aylin oui.

Cette idée étant que peut-être douceur et tendresse, ne suffisait pas à apporter le plaisir à la jeune métisse. Donc, pour ne pas que Vanna ne se sente humiliée ou soumise, Aylin paierait, ...