L'île sauvage - Histoires de Sexe

L'île sauvage

... pierre plate. Aylin poussa doucement sur une douce épaule brune et s’allongea sur le corps de Vanna…

— Embrasse-moi Vanna. C’est ton tour…

Leurs langues se mêlaient. Douceur chez Vanna. Impatience et plus de rudesse pour Aylin.

— T’es énervée, Aylin…
— Oui. Tu m’énerves. Tu m’énerves terriblement. Je vais te montrer comme je suis excitée. Tu veux ?
— Oui. Oui, je veux.
— Tu m’obéis d’accord ?
— Je fais toujours.
— Oui. Tu regardes. Tu me regardes. C’est tout ! D’accord Vanna ?
— Oui.

L’Irlandaise s’était dégagée du corps de Vanna, puis s’était allongée, dos à la pierre.

— Je vais me caresser… Tu regardes, c’est tout. Ensuite, tu feras comme moi.

Les longues mains de la rouquine englobèrent très vite deux seins lourds et pleins.

— Je veux faire pour toi Aylin.
— Chut… Tu regardes !

Aylin caressa longuement sa poitrine et agaça des pointes dures un petit moment.

— M’mm…
— Oh Aylin. Tu t’énerves beaucoup là.
— Oui. J’espère… D’abord, tu dois regarder…

L’Irlandaise bougea son corps et écarta largement ses longues jambes.

— Je suis… Trempée de… Je suis très énervée. Oh oui…

Deux des doigts d’Aylin, brusquement pressés, se glissèrent dans sa fleur ouverte. Si le but de l’Irlandaise était de faire comprendre certaines choses à sa compagne, elle découvrait brusquement que se donner du plaisir devant Vanna, l’excitait.

— Tu me regardes et ça m’énerve énormément… M’mm…
— Je peux faire. Tu veux ?
— Chut… Je vais… Je vais vite jouir, ...

... Vanna.
— C’est quoi jouer ?
— Jouir… C’est du plaisir. Calmer l’énervement…
— Oh. Jouis vite alors, Aylin !
— Si tu m’embrasses maintenant, je jouis…
— Oui Aylin.

Quand la rouquine cria dans la bouche de sa compagne, Vanna se recula aussitôt, un peu inquiète.

— Aylin ? T’as mal de jouir ?
— Oaah. Non. Non. Embrasse… Embrasse-moi…

Leurs dents s’entrechoquèrent sous les soubresauts de plaisir d’Aylin, et Vanna se recula encore.

— Doucement Aylin. Tu es toute drôle. Tu jouis encore là ?
— Ouiii…

Aylin, allongée contre Vanna la couvrait d’une partie de son corps. Son sein droit écrasant celui de la jeune femme. Elles n’avaient pas cessé de s’embrasser.

— Aylin ?
— Oui ma belle…
— Tu mouilles beaucoup trop de ton sexe quand tu jouis.
— Je mouille parfaitement bien. Je mouille superbement. On dit sexe pour parler avec d’autres personnes. Quand je fais l’amour…
— Tu fais avec moi, là ?
— Plus tard oui… J’espère… Mais je te disais que j’aime beaucoup dire minette, ou minou, au lieu de sexe. Ou chatte. Chatte mouillée. Tu comprends ?
— Oui. Non.
— Tant pis… Continues Vanna… Montre-moi si tu as retenu ma… Si tu m’as bien regardée…

Vanna enfonça deux doigts dans son antre en soupirant, et les bougea un instant. Puis elle les retira comme à regret, et alla les poser sur les lèvres d’Aylin avant que la grande rousse ne puisse réagir.

— Vanna, mais…
— C’est comme le sel dans l’eau. Un peu. Tu aimes la mouille de ma chatte ?

Aylin, surprise tout ...