Traductrice
Datte: 14/02/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
hotel,
fdomine,
Oral
préservati,
piquepince,
confession,
Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe
... Alors… Après tout.
— D’accord. Mais je vais dans la salle de bain.
— Je vous en prie.
Il me cède le passage. Je me retrouve face à moi-même. J’avais oublié que je n’avais pas mis de soutien-gorge, pensant que les Chinois seraient encore plus « distraits ».
Je referme mon chemisier après avoir installé les bijoux. Je souris de ma supercherie. Il avait dit « les passer ». J’ai obéi.
Je fais mon petit effet.
— Oh, vous avez raison, c’est encore plus érotique avec le chemisier. D’ailleurs, je ne vous ai pas remercié d’avoir eu cette idée de ne pas mettre de soutien-gorge. Mes clients auraient été subjugués et j’aurais pu leur faire signer n’importe quoi.
— Cela se voyait tant que cela ?
— Ambre, ne vous faites pas plus innocente que vous n’êtes. Vous savez pertinemment que le chemisier peut le laisser deviner à qui veut bien regarder.
— Oh !
— D’ailleurs, vous devez le ressentir encore plus avec les bijoux. Vos pointes doivent frotter.
— Oh !
— J’adore votre innocence. Vous êtes si fraîche. Belle aussi.
Que répondre, à part :
— Merci.
De longues secondes où il me regarde. Je me surprends à me redresser, faisant pointer un peu plus encore mes tétons contre le tissu.
Il avance vers moi. Il est à moins d’un mètre. Je n’ose bouger. Même nu… Surtout nu, il m’impressionne.
— Je peux ?Il demande alors qu’il avance sa main vers moi, vers mon chemisier, vers un bouton.
Je suis comme paralysée. Son regard ne quitte pas le mien. Je suis comme un ...
... animal pris dans les phares d’une voiture.
Il me fixe et je ne réponds pas.
Je sens le tissu bouger. J’entends le crissement du bouton qui est poussé hors de sa boutonnière.
Un, puis un autre, encore un autre.
Son regard. Cette lueur que je prends comme le reflet de sa victoire.
Il tire sur mon chemisier pour le sortir de ma jupe.
Encore… Un, deux, ou trois boutons. Je ne sais pas, je ne sais plus…
Il baisse les yeux. Sans réfléchir, je le suis. Comme lui, je découvre ma poitrine dénudée et ces deux bijoux qui sont comme des aimants.
— Que c’est beau ! Cela te va très bien. Tu as des tétons parfaits. Tiens, viens regarder !
Il m’a pris la main. Il me guide vers le grand miroir sur la porte du placard. En croisant à nouveau son regard, je réalise qu’il vient de me dire « Tu ». Jamais il ne m’avait tutoyé avant alors que dès le début, Antoine et lui avaient partagé cette familiarité.
Je me vois dans le miroir. Je me vois et lui aussi, juste derrière moi, son visage à côté du mien.
Je me vois dans le miroir et je sens, autant que je découvre que mon chemisier bouge, qu’il passe l’arrondi de mes épaules pour glisser le long de mes bras, mais être stoppé par les boutons aux poignets.
Ces deux boutons ne résistent pas à sa dextérité et bientôt il est au sol.
Je vois ses deux larges mains se poser sur mes épaules.
— Redresse-toi. Sois fière de ta poitrine…
Instinctivement, j’obéis. Il dépose un baiser dans le cou. Je sens son corps contre le ...