1. Profession Chauffeur


    Datte: 10/02/2024, Catégories: fh, ffh, fplusag, soubrette, Oral pénétratio, confession, chronique, initiatiq, Auteur: ChrisM, Source: Revebebe

    ... d’expliquer comment.
    — Un matin, on s’est vraiment fâchés avec Pierre. Il partait une semaine en Corée et s’est montré entreprenant, moi, je ne voulais pas. Le ton est monté, les échanges assez violents. Pour finir, je lui ai dit d’aller retrouver sa pétasse, je savais qu’il fricotait avec une de ses assistantes et il m’a répondu qu’elle au moins ne gardait pas les cuisses serrées.
    — J’avais bien vu qu’il était de mauvais poil quand je l’ai emmené, ça promettait une journée de merde. Quand tu me convoques, je m’attends à tout. Je rentre dans ton salon privé, personne, juste un verre et une bouteille de vin sur un guéridon. En plus, elle a picolé, je me dis. Je tousse un coup, histoire de montrer que je suis là, tu m’appelles depuis la chambre. Et là, je te vois allongée, complètement à poil sur le lit.
    — Tu réagis comment ?
    — Ça me fout en rogne. Me refaire le coup de la salle de sport, te promener cul nu comme si je comptais pour du beurre ! Aussi, je suis scotché quand j’entends : « Vous aviez dit que vous étiez à ma disposition, alors… faites l’amour avec moi ! ».
    — Et comme tu ne bouges pas, je refais ma demande.
    — J’ai eu besoin de réaliser, t’étais quand même ma patronne, tu pouvais me virer quand tu voulais. Mais quand une femme bien foutue insiste pour que tu la gaules, ça ne se refuse pas. Je me déshabille vite fait, m’allonge près de toi. Quand je veux t’embrasser, tu me repousses, tu me tends une capote, le message est clair.
    — J’avais cru voir que tu ...
    ... n’avais pas besoin d’être excité.
    — C’est vrai, je bandais déjà bien. J’aurais bien aimé une petite pipe pour commencer, mais tu me semblais pressée alors je t’enfile sans attendre. C’est pas désagréable, mais tu réagis à peine à mes coups de queue, pas un mot, pas un mouvement. Quand je veux te titiller le clito, tu vires ma main. Quand je caresse tes seins, pareil, il ne faut pas te toucher ! Malgré tout, ta chatte me serre bien la queue et je jouis assez vite. Mais j’en suis encore à gicler dans la capote que tu me balances : « Partez maintenant, je n’ai plus besoin de vous. ». On ne me fait pas ça à ce moment-là, j’ai poussé un coup de gueule, je ne suis pas un gode, un homme capote qu’on jette quand on a fini de baiser.
    — Je le reconnais, je voulais me venger de mon mari, lui montrer que je pouvais être aussi infidèle. Quand il serait rentré, je lui aurais dit, on aurait été quittes. Il est vrai que tu en aurais fait les frais. Mais cela ne s’est pas passé comme je l’avais prévu.
    — Quand j’ai ajouté que, pour me vider les couilles, une poupée gonflable aurait été plus bandante, tu m’as regardé, comme une conne, sans répondre. J’ai pété les plombs, j’ai décidé de te montrer ce que baiser veut dire. Et je t’ai empoigné les fesses pour un cuni.
    — Mon premier mari ne m’avait jamais fait ça et avec Pierre, je restais bloquée. J’ai voulu te repousser, mais tu me tenais bien. Et je sentais ta langue prendre possession de mon sexe, le fouiller.
    — Tu ne m’as pas repoussé bien ...
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