Profession Chauffeur
Datte: 10/02/2024,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
soubrette,
Oral
pénétratio,
confession,
chronique,
initiatiq,
Auteur: ChrisM, Source: Revebebe
... tortillais du cul, je me suis demandé si tu me draguais.
— Quelle idée ! À cette époque, je n’imaginais pas d’autre homme que mon mari.
— Et surtout pas un larbin !
— Que veux-tu dire ?
— J’en avais parlé le soir avec Nadège. Elle m’a raconté son premier été dans votre villa de la Côte. Comme elle n’avait pas encore de congés, elle avait été appelée en renfort du personnel de service. La maison était pleine, les amis qui arrivaient repartaient, elle ne manquait pas de boulot. Mais c’était les vacances, ambiance cool, tout le monde en short et tee-shirt, sauf toi, toujours habillée.
— C’est mon éducation, le maillot de bain, c’est à la piscine ou sur la plage, pas dans la maison.
— Une fois, ton mari et tes amis étaient partis pêcher en mer, tu n’avais pas voulu les accompagner. La voiture n’avait pas quitté la villa que tu te désapais. Et tu as passé la journée à te faire bronzer ou à te balader à poil dans la maison. Quand Nadège te croisait, elle avait l’impression d’être transparente, comme un meuble.
oooOOOooo
— Arthur, peut-être que je t’ai vraiment découvert quand on est revenu du Bourget, après avoir déposé mon mari à son avion.
— Je me souviens, l’accès à l’autoroute était fermé pour travaux, on avait dû passer par la ville.
— C’était sinistre, l’avenue mal éclairée, les bâtiments un peu délabrés.
— Tu ne connaissais du Bourget que l’aéroport, les jets privés. Le Bourget, c’est aussi la banlieue, pas pire qu’ailleurs et ça s’est bien amélioré.
— Un ...
... moment, arrêtés à un feu, on s’est retrouvés entourés d’un groupe de jeunes à scooter. Quand le feu est passé au vert, ils ont fait un rodéo, à nous doubler en frôlant, à zigzaguer devant. Et cela a continué aux feux suivants. J’étais très mal à l’aise.
— Constance, tu te faisais du cinoche, tu te la jouais « attaque de la diligence par les Indiens ». Ce n’était que des gamins, ils déconnaient, mais rien de sérieux, aucun risque.
— Tu es resté imperturbable, ton calme m’a rassuré.
— C’est mon métier.
— À l’époque, je m’énervais très vite.
— Je suis comme tout le monde, je peux monter dans les tours, mais je sais me contrôler, évacuer le stress.
— Moi aussi, je me défoulais à la salle de sport, mon coach me faisait travailler très dur. J’ai bien compris depuis ce qui me manquait.
— Une bonne baise, il n’y a rien de tel pour se relaxer, mais à l’époque, je ne pouvais pas te le dire. J’ai simplement glissé que Nadège, c’était mon décontractant.
— Ton allusion n’était pas très fine. Quand j’ai remarqué que Nadège était là tous les soirs…
— Je ne pensais pas te choquer en répondant que si j’avais été marié et ma femme, souvent partie à l’autre bout du monde, j’aurais cherché quelqu’un d’autre pour compenser.
— Le message était clair. J’étais soufflée… me proposer de prendre un amant ! À l’arrivée, quand tu as ouvert ma porte, ton« Je suis, Madame, à votre entière disposition » était très équivoque.
oooOOOooo
— Arthur, l’ambiguïté a vite été levée !
— C’est à toi ...