Profession Chauffeur
Datte: 10/02/2024,
Catégories:
fh,
ffh,
fplusag,
soubrette,
Oral
pénétratio,
confession,
chronique,
initiatiq,
Auteur: ChrisM, Source: Revebebe
... longtemps. Ma sucette te faisait de l’effet, je comprenais que dalle à ce que tu racontais, mais je sentais que ça chauffait. Et quand j’ai attaqué le clito, tu faisais presque des bonds sur le lit. Et bingo, t’as pris ton pied.
— C’est venu du plus profond de moi, c’était tellement fort que je te suppliais d’arrêter, mais tu as continué jusqu’à ce que je tombe, amorphe, sur le lit. Je n’ai même pas réagi quand tu m’as retournée pour me prendre.
— J’étais encore furax. J’avais à peine débandé et, sans remettre une capote, je t’ai enfilée. Ah, putain, quelle séance ! Je ne me retenais plus, à chaque coup de bite, tu braillais, je ne savais pas si t’avais mal ou pas, je m’en foutais et je ne pensais qu’à une chose, me vider dans ta chatte, quoi qu’il se passe après.
— C’était violent, on ne m’avait jamais traitée comme ça, mais je sentais en moi une envie furieuse monter. Alors, quand j’ai senti que tu jouissais en moi, j’ai voulu me faire pardonner, j’ai continué à me bouger sur ta verge, à extraire tout ton foutre. Et un nouvel orgasme m’a submergé.
— Quand je me suis tiré, tu es restée allongée sur le lit, sans me regarder, sans dire un mot.
oooOOOooo
— Dans la foulée, j’ai préparé mes affaires, j’étais sûr d’être viré comme un malpropre. Mais le lendemain, tu m’appelles, comme si de rien n’était !
— Arthur, cela faisait des années que je n’avais pas eu d’orgasme, alors, en enchaîner deux de suite, c’était une révélation. Mais j’étais mariée, je me sentais en ...
... faute vis-à-vis de mon mari. Je souhaitais donc qu’on s’explique, de façon à oublier ce qui s’était passé et revenir à des relations de travail normales.
— Tu dis ça, mais au téléphone, j’ai bien senti qu’il y avait autre chose, que t’avais encore des envies de bite.
— C’est vrai, quand, au moment de raccrocher, j’entends « Si c’est pour faire l’amour, mettez une tenue sexy ! », mes bonnes résolutions sont parties.
— J’avoue que je n’en menais pas large quand je suis arrivé chez toi. Quand tu m’ouvres la porte, je suis rassuré : un chemisier blanc assez transparent, on aurait dit sans rien dessous, une jupe serrée sur ton petit cul, des chaussures à talon haut.
— « Mets de la musique, du jazz, du sensuel », c’est la première fois que tu me tutoyais. Sur les premières notes du saxo, j’ai commencé à danser.
— On voyait que t’avais fait de la danse. Et je t’ai fait signe d’enlever le haut.
— J’avais compris pour le strip-tease, je n’en avais jamais fait, mais j’en avais déjà vu. Alors j’ai défait, bouton après bouton, le chemisier, et je l’ai jeté derrière moi. Tu avais déjà deviné que je ne portais rien dessous, je voyais tes yeux fixés sur ma poitrine, elle ondulait doucement, j’ai caressé les tétons, ils étaient durs.
— J’avais autre chose qui durcissait.
— Puis ça a été au tour de la jupe, je l’ai fait glisser doucement le long des jambes. Tu m’avais demandé de garder les chaussures.
— Et tu as viré ton string, il ne cachait plus grand-chose.
— Ce n’est pas facile de ...