1. Mutinerie au Congo, Chapitre 04


    Datte: 10/02/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... cette soirée de viols et de règlement des comptes en souffrance coloniale.
    
    Lucie est environnée de sept ou huit mutins qui la tiennent soulevée au-milieu d'eux et la violent à tour de rôle, debout entre ses belles petites jambes, tenues aux chevilles tandis que les seins de l'adolescente battent la mesure débridée du viol et font la joie grasse de ces lascars en goguette, qui s'amusent aussi à répandre de la bière de banane sur ses seins, histoire d'africaniser un peu sa jeune poitrine, si éclatante par sa blancheur taboue.
    
    Isabelle est penchée en avant et subit un pilonnage en règle, avec son beau cul blanc bien à la vue. Pauline est allongée au sol, toujours aussi nue, et trois nègres l'embrassent et la caressent partout, des pieds à la tête. Ses cheveux noirs sont aspergés de bière de banane et parfumés au sperme congolais. On n'arrête pas de la traiter de petite salope confirmée et de fille à nègres. La jeune fille pleure et sanglote, tout excitée malgré elle.
    
    Mais c'est surtout Véronique qui retient l'attention du commandant Gilles Leblanc. Véronique et son cul! Véronique et son magnifique corps d'adolescente, qui se fait sauter à quatre pattes, ses jambes et ses jolis pieds offerts à sa vue. Gilles Leblanc est étrangement heureux de voir Véronique nue en pareilles circonstances.
    
    Tandis que le soldat achève l'accouplement avec la Belge aux cheveux noirs, Gilles Leblanc, dans son uniforme déchiré, dépouillé des insignes de son grade, interroge du regard le ...
    ... colonel Bobozo, chef de son escorte et devenu roi et maître absolu de Camp Hardy. Le colonel nègre hoche la tête.
    
    Véronique sent tout son corps électrifié de chauds spasmes quand les mains de Gilles LeBlanc se posent sur ses fesses, qu'il caresse et parcourt avec délice. Le vif plaisir qu'elle ressent provoque une montée d'adrénaline et elle s'active.
    
    Tout à coup, la jeune fille est debout sur ses genoux et fait face à Gilles LeBlanc, et elle l'embrasse avec fougue en se jetant dans ses bras.
    
    « Prends-moi! Prends-moi, mon commandant! J'te veux comme une folle! » lui murmure la belle lycéenne tandis qu'elle couvre son visage de baisers et lui arrache littéralement ses lambeaux d'uniforme, embrassant la poitrine de Gilles à mesure qu'elle le dépouille.
    
    Le colonel Bobozo trouve la scène très drôle et franchement divertissante. Ses hommes aussi; ils sifflent et en redemandent. Le colonel ordonne qu'on fasse sortir Anne LeBlanc, afin qu'elle puisse elle aussi danser nue au son des tam-tams et surtout, qu'elle puisse voir son papa chéri sauter une de ses amies du même âge qu'elle.
    
    Quand Anne, nue, est emmenée dehors, elle se met à pleurer en voyant Lucie qui se fait violer au milieu d'une tournante congolaise, puis elle reste bouche bée, lèvres tremblantes de stupeur. Véronique est au sol avec un homme étendu, et elle est en train de lui sucer sa belle bite; cet homme, elle le connaît très bien. C'est son papa!
    
    « Oh, la salope! » s'écrie Anne. Et tous les soldats qui ...