1. Tonton Cristobal


    Datte: 09/02/2024, Catégories: fh, ffh, fffh, fplusag, couleurs, frousses, rousseurs, voisins, poilu(e)s, fépilée, coiffure, magasin, noculotte, strip, caresses, entreseins, Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, Humour fantastiqu, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... distinguée.
    
    — Mon oncle fréquentait les casinos, jouait au poker, il ne perdait pas souvent, semble-t-il.
    — Qu’allez-vous faire ?
    — Justement, c’est la raison de votre présence ici. Je voudrais éviter les questions indiscrètes et placer cet argent sans attirer l’attention.
    
    Elle réfléchit quelques minutes, pousse un gros soupir qui lui gonfle la poitrine et me dit :
    
    — Je connais quelques moyens plus ou moins légaux pour que vous puissiez placer ces sommes de façon légales, en France.
    
    Je la vois hésiter.
    
    — Mais ?
    — En parlant de question, je voudrais vous en poser une… qu’est-ce, interroge-t-elle en désignant la bosse qui déforme mon kilt.
    
    Je deviens rouge, etl’Autre en profite pour se gonfler encore plus d’orgueil. Elle va m’aider pour ces boîtes à malices, je lui dois bien la vérité. Alors je me lance. J’espère que la vérité la convaincra et qu’elle ne me prendra pas pour un gros pervers mytho.
    
    Je lui explique mon arrivée, mes travaux, mon mal de tête, leçarapétamol et ses conséquences. L’héritage du tonton ne se résume pas à un appart et des boîtes de chicorée-café miraculeuses.
    
    Elle se marre, la vilaine, puis en se parant d’une jolie teinte rosée, désigne mon kilt et dit d’une petite voix :
    
    — Vous avez éveillé ma curiosité, pourrais-je le voir ? N’y voyez aucune mauvaise intention, juste un simple intérêt scientifique.
    
    À la guerre comme à la guerre, je soulève le kilt, elle porte les mains à ses joues et s’écrieBouducong avec un accent ...
    ... encore plus prononcé.
    
    — Par tous les dieux, je n’ai jamais rien vu de pareil.
    
    Je me dois d’avouer que je ne suis pas un athlète, pas maigrelet, mais pas musclé non plus, alors voir cet engin se dresser ainsi le fait paraître encore plus impressionnant.
    
    — Puis-je ? demande-t-elle en tendant la main et se passant une langue gourmande sur les lèvres.
    
    Lorsque ses doigts touchent Nestor il vibre de satisfaction, elle retire sa main en poussant un petit cri et revient aussitôt en gloussant.
    
    Elle s’en approche et pose ses lèvres sur le sommet du colosse. Je suppose que cela ne relève là aussi que de la curiosité scientifique.
    
    — Tu n’es pas obligée, tu ne sais pas dans quoi tu t’engages…
    — Il y a des choses que l’on ne peut ignorer. Et puis tu es un de mes meilleurs clients, je me dois de veiller sur toi.
    
    Tout en disant cela, elle se dévêt, flanquant sous mes yeux ses seins rebondis aux tétons roses et sa toison flamboyante. Je ne souhaite pas rester à la traîne et me retrouve vite nu, Agathe à mes genoux en train de me scalper le grand chauve, une main sur mes burettes, l’autre à la base du goupillon.
    
    — Attention, dis-je en guise d’avertissement étranglé.
    
    Elle n’en a cure et me garde bien au chaud entre ses lèvres. Elle recrache le tout dans sa petite culotte et observe le résultat d’un œil incrédule. Sa Majesté reste droite et rigide dans ses bottes.
    
    — Incroyable, s’extasie-t-elle. Je ne vais pas te laisser ainsi, conscience professionnelle oblige.
    — ...
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