1. Tonton Cristobal


    Datte: 09/02/2024, Catégories: fh, ffh, fffh, fplusag, couleurs, frousses, rousseurs, voisins, poilu(e)s, fépilée, coiffure, magasin, noculotte, strip, caresses, entreseins, Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, Humour fantastiqu, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... elle sera là.
    
    Sera-t-elle vêtue comme l’autre jour, sa jupe courte et rouge, son chemisier blanc, un chignon vaporeux dégageant sa nuque gracile…
    
    Meeerde ! De songer à elle ainsi, j’ai Prosper qui fait des siennes, mon pantalon devient trop petit, il recommence le con !
    
    Mon pote m’avait averti, je peux avoir des séquelles n’importe quand. Là, le fait de songer à la jolie notaire il me la rejoue stylecharge de la Brigade Légère. Comme disait le grand philosophe San Antonio, « le sexe de l’homme est la chose la plus légère au monde, une simple pensée suffit à le soulever. »
    
    Elle arrive, la sonnerie retentit, je m’affole, plus je panique plus il devient raide. En désespoir de cause, j’enfile mon kilt et vais ouvrir le cœur battant et la verge tendue.
    
    — Bonj… fait-elle en ouvrant de grands yeux.
    — Bonjour maître. C’est surprenant je sais, mais j’ai taché mon pantalon et enfilé ce qui me tombait sous la main.
    
    Je devrais éviter de prononcer certains mots, commeenfiler, ça me trouble encore plus. D’autant qu’elle porte bien sa jolie et courte jupe rouge, avec cette fois un top blanc bien décolleté sous une veste rouge.
    
    — Ce n’est pas grave, si tous mes clients pouvaient être aussi surprenants que vous…
    
    Si tu savais tout, ma belle, tu serais encore plus surprise !
    
    — Désirez-vous prendre un apéritif…
    — Montrez-moi d’abord ce qui vous trouble tant.
    
    Tout me trouble, d’autant qu’elle semble intriguée par une certaine protubérance sous le kilt, là où ...
    ... devrait se tenir lesporran⁽¹⁾. Elle a l’œil, la coquine rouquine.
    
    Je l’emmène dans la chambre d’amis et lui désigne les boîtes de café soluble.
    
    — Voilà, c’est là.
    — C’est une plaisanterie, rétorque-t-elle, en passe de se fâcher tout rouge comme sa veste.
    — En aucun cas je ne me permettrais de me moquer de vous. Ouvrez-en quelques-unes, s’il vous plaît, vous comprendrez mon embarras.
    
    Un peu inquiète de se retrouver en tête à tête avec un type pas très équilibré, elle se résigne, surtout désireuse de ne pas me contrarier.
    
    Elle s’accroupit, ce qui fait remonter sa jupe sur ses cuisses, me donne une vue plongeante dans son décolleté et fait monter la pression de Dudule !
    
    Elle ouvre la première boîte qui lui tombe sous la main et reste figée, tels ceux qui croisaient le regard de Méduse. La boîte est pleine de billets de deux cents euros. Elle la repose délicatement, comme si elle contenait de la nitroglycérine, en ouvre une autre, remplie à ras bord de Dollars US.
    
    Fébrilement elle en ouvre trois autres à la suite, pour un même résultat.
    
    — Mais, bêle-t-elle d’une petite voix.
    — Il y en a autant dans chaque boîte, Dollar US, Canadien, Livre sterling, des Euros, même des Couronnes danoises, suédoises et norvégiennes. Je n’ai pas fait le total, je ne connais pas les cours, mais il y a quatre-vingt-dix-sept boîtes pleines à ras bord, je vous laisse imaginer.
    — Nom de Dieu… mais comment… Pute borgne, répète-t-elle en boucle avec un joli accent.
    
    Oubliée, la notaire ...
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