Élodie
Datte: 31/01/2024,
Catégories:
f,
ff,
groscul,
fépilée,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
intermast,
Oral
fdanus,
journal,
lesbos,
Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe
... maximum, je caressais mon sexe d’abord doucement puis de plus en plus vigoureusement et rapidement. J’avais vraiment la sensation d’être pénétrée par le sexe bien dur et long du jeune gendarme. Mon clitoris dressé me donna la décharge finale lorsque je le pinçai entre deux doigts. Il restait une dizaine de pages que je tournai avec des doigts mouillés. Je poursuivis jusqu’à la dernière ligne, il était minuit passé.
J’avais envie d’appeler Paula pour lui dire combien j’avais aimé son roman, combien elle avait réussi à me faire emporter dans son histoire. L’heure ne s’y prêtait pas, mais, malgré l’aversion que j’avais pour ce mode communication, j’envoyais un texto :
En le relisant après l’avoir envoyé, je le trouvais totalement emphatique, dépourvu de toute originalité. J’avais repris le vouvoiement et on aurait dit un mail anonyme de remerciement après un cadeau d’entreprise pour les fêtes de fin d’année ! Bref, c’était mauvais et ça ne traduisait pas du tout ce que je voulais lui dire.
Trente secondes plus tard, je recevais une réponse :
Je ne savais pas si je devais prendre cette invitation à la lettre et était-ce une invitation ? Il n’était pas question d’entreprendre une discussion par texto et je choisis donc de ne pas répondre. Le livre posé sur le drap devant moi exhalait un parfum étrange, mélange de l’odeur du papier et celle de mon sexe. Mes doigts humectés par ma cyprine avaient imbibé les dernières pages de mon odeur. En voulant les aérer, je ...
... tombai sur la dernière page sur laquelle Julien avait noté son numéro de portable. Une traînée de mouille menaçait de le rendre illisible, je l’inscrivis dans la mémoire de mon téléphone dans la catégorie : on sait jamais.
Sans faire attention, une fois le numéro enregistré, je dus frôler la touche : appeler. Après deux sonneries, que je ne perçus pas vraiment, je reconnus la voix de Julien.
— Allo… Allo !
Ne pas répondre m’exposait à un rappel
— Excusez-moi, c’est une erreur.
J’eus à peine le temps de finir la phrase
— Vous êtes la dame du train ?
Je laissai passer un silence, surprise et décontenancée par cette situation imprévue.
— Vous avez fini le livre de Paula Brilland ?
— Oui, à l’instant.
Je me rendis compte que c’était lui qui menait la conversation.
— Vous vouliez en parler ?
— Je ne sais pas, mais en tout cas pas maintenant.
J’entendis un rire
— Je ne vous le proposais pas non plus. Mais grâce à votre appel maintenant j’ai votre numéro. Rassurez-vous, je n’en abuserai pas. Je me permettrai de vous envoyer un texto pour vous proposer une date afin de discuter de mon sujet. Je vous envoie également le titre du polar ancien avec lequel je souhaiterais faire la comparaison.
— Si vous voulez, on verra.
Avec un petit rire, il ajouta :
— Pour vous rassurer, je viendrai avec quelqu’un, éventuellement ma mère. Je vous souhaite une bonne nuit.
Je n’eus pas le temps d’ajouter quoi que ce soit, il avait raccroché. J’étais un peu ...