1. Élodie


    Datte: 31/01/2024, Catégories: f, ff, groscul, fépilée, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation intermast, Oral fdanus, journal, lesbos, Auteur: Maudmoder, Source: Revebebe

    ... Elle était couchée sur le ventre, la robe remontée jusqu’aux fesses. Un des gendarmes se laissa aller à une remarque un peu déplacée : « dommage, elle avait un beau cul », sa collègue le recadra, mais ne put s’empêcher de laisser échapper une petite pique féminine : « faut pas exagérer, ce n’est pas un beau cul, c’est un gros cul, tu as vu la cellulite qu’elle a ? » Le reste des constatations m’apprit qu’elle portait un string noir et des marques de strangulation.
    
    L’image s’imposait à moi, celle d’Élodie. Je ne l’avais vue que quelques minutes, mais elle surgissait avec une netteté incroyable comme si elle m’avait troublée plus que je ne l’avais imaginé. Sa présence s’incrustait dans ma pensée me poussant à des fantasmes de plus en plus précis. Je sentais mon corps réagir à cette stimulation virtuelle. Je lâchai le livre pour libérer mes deux mains. Je caressai mes seins d’abord doucement en imaginant les siens, ronds et fermes. Je saisis les pointes et les pinçai vigoureusement afin qu’elles s’étirent et se dressent. Je sentais presque ses mamelons érigés sur les miens. Je pris à pleine main mon sein droit pour porter à mes lèvres le téton long et dur. J’adorais me faire sucer les seins.
    
    Mon autre main caressait mon ventre en descendant lentement en faisant des petits cercles vers mon pubis. Je trouvais ma peau douce. Je rêvais de flatter la peau du ventre d’Émilie, de son bourrelet avec une chair abondante et tendre. Je lâchai mon sein et mes doigts se rejoignirent ...
    ... sur ma chatte détrempée. Mon clitoris avait sorti sa tête de son capuchon et je le voyais parfaitement, cramoisi et fièrement durci, qui se dressait insolemment en haut de ma fente. Mes doigts titillaient précautionneusement le petit gland afin de profiter de sensations délicieuses sans déclencher la tornade orgasmique.
    
    Mon vagin s’inondait d’un fluide poisseux, capiteux et iodé. Le liquide glissait vers la petite rondelle que je flattais avec délicatesse. J’effleurai l’intérieur de mes cuisses en pensant à celles d’Émilie, rondes et grassouillettes comme les miennes. Le souvenir de la petite main de Chloé tout entière dans moi déclencha l’orage voluptueux qui me secoua tout entière. Je léchai avec gourmandise mes doigts englués. Je pensais continuer ma lecture, mais je n’allai pas au bout de la description du cadavre, l’orgasme m’avait vidée.
    
    Je fis une brève incursion dans la salle de bain pour le pipi du soir. Assise sur les toilettes, je constatai que la nature étant ce qu’elle est, il me fallait mettre un tampon. En cherchant la boîte, je tombai sur une plaquette de pilules. Je n’en prenais plus depuis la disparition d’Alain. Compte tenu de mon activité sexuelle du week-end et de mon écart avec Alex la semaine auparavant, je décidai de recommencer le traitement : dans la catégorie « on sait jamais ». Je me demandais s’il fallait relier cette décision avec la rencontre de Julien bien que je vienne de fantasmer sur sa mère. Le sommeil ne fut pas long à venir. J’avais ...
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