1. Soifs d'un soir d’été


    Datte: 31/01/2024, Catégories: fh, couplus, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, entreseins, libercoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... Puis, Mireille se ressert un verre, imité par Bénédicte.
    
    — Ah la vache ! C’est du bon de chez bon, ce truc-là !
    — Oui, oui, oui ! C’est pas du pipi de chat !
    
    Posant son verre, ma femme enlève le dernier bouton, sa chemise complètement entrebâillée, laissant bien voir une bonne partie de sa poitrine. Denis n’en perd pas une miette et moi non plus. Curieusement, Mireille ne dit rien, on dirait qu’elle est un peu absente.
    
    Ayant saisi une assiette en carton, ma femme s’évente copieusement, tout en disant :
    
    — Pff, fait vraiment trop chaud, ici !
    
    Puis sans complexe, elle tombe la chemise, Bénédicte est désormais en petite culotte les seins à l’air, sous les gros yeux ronds de Denis qui n’en demandait pas autant. Mireille sort de sa torpeur :
    
    — Oui, je vois ça… fait encore plus chaud que sur la plage !
    — T’as raison, Mimi. Dommage que nous n’ayons pas de piscine dans le jardin…
    
    Denis se penche vers moi et me demande en murmurant :
    
    — Daniel, t’as mis quelque chose dans le rhum ou quoi ?
    — Rien du tout, du moins, pas à ma connaissance. Je te rappelle que c’est du vrai de vrai, pas une cochonnerie qu’on trouve dans un grand magasin.
    
    Sans oublier de regarder le spectacle offert par nos femmes, il opine du chef :
    
    — Ça doit être ça… C’est comme le pâté de mon père…
    — C’est-à-dire ?
    — Aucun pâté en boîte, même très cher, ne lui arrive à la cheville !
    
    Faisant fi de notre petite conversation, Mirelle ôte son vêtement et se retrouve à son tour en culotte ...
    ... et seins nus. Je ne m’attendais pas à ça, ni de la part de Béné ni de la part de Mireille, mais je ne vais certainement pas protester !
    
    Nous, les hommes, sans nous concerter, nous applaudissons.
    
    Nous contemplons copieusement nos femmes. Discutant entre elles, celles-ci se laissent zieuter sans difficulté, comme si nous n’étions pas présents. Je suppose que le rhum des Antilles y est pour quelque chose. Puis, Bénédicte reprend la parole :
    
    — Je parie que ça vous plaît bien, les hommes !
    
    Denis me devance :
    
    — On ne peut rien te cacher !
    — Comme tu le vois, on ne te cache pas nos seins !
    — Faudrait être aveugle pour ne pas le remarquer ! C’est mieux qu’à la plage !
    
    Les femmes se mettent à rire. C’est Mirelle qui répond à son mari :
    
    — Pourtant nos maillots de bain ne cachaient pas grand-chose !
    — Je sais, mais ce n’est pas pareil… Sur une plage, on s’attend à voir des corps plus ou moins dénudés.
    — Je vois ce que tu veux dire…
    
    Elle s’empare de la bouteille devenue à moitié vide, et se sert un petit verre, en disant :
    
    — Et ce machin-là, ça aide !
    
    Sa voisine proteste :
    
    — Et moi alors ? J’ai droit à rien ?
    
    Mireille s’en amuse, elle lui verse un peu de liquide blanc dans son verre :
    
    — Je crois que tu vas aussi en avoir besoin…
    
    Les deux femmes boivent de concert. Nous les hommes, nous nous abstenons, nous préférons garder les idées claires et surtout nos yeux bien opérationnels face au double spectacle. Ce n’est pas tous les jours que nous ...
«1234...11»