1. Mutinerie au Congo, Chapitre 05


    Datte: 28/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... petit concert d'étoffe outragée, et les sergents ont saisi et brutalement abaissé chaque côté de son haut de robe entamé, et ils font apparaître ses seins à la lumière douce et chaleureuse, car elle ne portait rien en dessous...
    
    Le lieutenant se jette avidement sur cette poitrine de jeune châtelaine, toute pâle, et il enfourne un mamelon dans sa bouche et fait vriller sa langue tout autour. L'abbesse gémit sous ces assauts qui lui font perdre la tête...
    
    « Aaaahh... Aaaaaaahhh, aaaaahh, aaaahhh, les soldats congolais... Aaaaaaaaahhh, aaaahh... J'suis qu'une salope! Une salope blanch... AAaaaahh, non! Naaaooon! Aaaaaahh... »
    
    C'est l'abbesse qui capitule et laisse sortir la chaleur de son corps par sa bouche dans ce concert torride, tandis que le lieutenant continue de lui sucer les seins en pressant son visage contre cette paire de promontoires souples et d'un satiné qui le remplit de joie exaltée. Il n'en revient pas, et là, là, il sait que cette Blanche sera vraiment très bonne à violer! Sa bite durcie pousse le devant de sa culotte d'uniforme; la sauvagerie demande à sortir, c'est son heure.
    
    Resté au cou de l'abbesse Alix, un cou de cygne lisse et blanc, le crucifix sombre orne à présent la vallée d'ombre entre ses seins nus. Après leur lieutenant, les sergents et les deux troufions se relaient pour le plaisir de lui sucer les seins, d'une blancheur éclatante et follement excitante dans ce contexte d'explosion politique. La mutinerie fait que les doux et fermes ...
    ... mamelons d'une fille blonde goûtent l'impensable; les seins de l'abbesse Alix ont le goût concentré d'une sorte de vanille de rêve fou saupoudré de sel de liberté.
    
    Sucer les seins de l'abbesse est un plaisir raffiné, inédit pour la bouche des Congolais. Les violeurs ont besoin de toute leur discipline militaire pour savourer ces délices sans verser dans la vulgarité en la violant sommairement. Une fille comme Alix, avec sa chatte bien mouillée, ça ne se boit pas cul-sec!
    
    Mais bon, l'un des soldats n'en peut plus. Il demande à son pote de mettre l'abbesse à genoux, puis il lui agite sous le nez son gros boudin gonflé; de sa main, le nègre agite sa bite surexcitée et après quelque chose comme vingt secondes, le Congolais au nez épaté lâche une série de râles gutturaux et fait gicler trois gros traits de sperme, bien chaud et épais, qui dessine une gluante décoration sur les seins nus de l'abbesse, celle-ci poussant une sorte de cri suraigu quand elle sent cette petite mer africaine lui coller à la peau et à l'âme.
    
    Elle a des torrents d'eau dans sa chatte et réalise qu'elle va très bientôt se faire sauter à répétition. Elle est certaine que ces hommes jeunes et fringants ont assez de munitions dans leurs cocotiers pour la bourrer chacun à deux reprises; elle fait l'arithmétique sordide et calcule qu'elle va se faire africaniser dix fois, dont probablement deux coups de bourre dans son cul en comptant les sergents enculeurs.
    
    La bite raide et sortie, le lieutenant a ...
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