Mutinerie au Congo, Chapitre 05
Datte: 28/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... sergent.
« Hé oui, c'est nous! Fabrice et André, les enculeurs... Pour vous servir! »
« Allons ma petite dame! T'as plus besoin de ton chapeau. Ôte-moi ça! » fait le lieutenant en lui enlevant sa large cornette d'un coup sec qui libère soudainement sa débauche de longs cheveux d'or : Alice de Termonde a les mêmes cheveux blonds, d'un doré pur, immaculé, que ses ancêtres représentées sur de magnifiques tableaux au château de son oncle. Son vieil oncle qui rêve d'elle nue.
Le lieutenant nègre lui caresse les cheveux en l'enlaçant; il plaque ses lèvres contre la bouche de l'abbesse, qui le laisse faire et sent la décharge d'excitation parcourir son corps noble tandis que les épaisses lèvres et la langue du Noir font connaissance avec les équivalents féminins qu'elle possède. Le lieutenant remarque qu'elle a les yeux d'un drôle de bleu qui porte des notes de vert d'eau.
Car elle le regarde. Elle les regarde, lui et ses hommes, pendant qu'elle se sent fondre sous ce baiser chaudement tropical; tropical, délicieusement chargé d'interdits coloniaux et religieux et ô combien prolongé... La jeune abbesse boit cette bouche a priori ennemie, qui lui enseigne que son corps d'Ève est fait pour recevoir les hommages des hommes, tous fils et amants d'Ève.
Les deux soldats du rang disent qu'ils ont hâte de la déshabiller et de la violer surtout, mais tous les cinq, ils prennent le temps de l'embrasser chacun son tour. Ce faisant, ils pressent ses seins au travers de sa robe, ...
... et elle ne peut s'empêcher de gémir en sachant que sa poitrine sera très bientôt nue et livrée à leurs regards et à leurs chaleureux attouchements. L'abbesse sent son sexe très mouillé sous sa robe blanc consacré. Elle a un beau crucifix à la poitrine, mais les hommes ne sont pas des vampires. Ils sont attirés par sa splendeur taboue.
Bientôt, elle glapit en protestations symboliques quand les sergents font table rase de son bureau de chêne et envoient tout valser par terre -- livre, stylos, feuilles, petits bibelots -- et la plaquent sur son bureau.
Le lieutenant sort un couteau de style baïonnette et lui ordonne de ne pas bouger au moment où il loge la pointe acérée juste sous l'ouverture de son col, haute et étroite. Il glisse un peu plus sa lame sous son habit de religieuse, le revers de sa main brun foncé glissant contre le menton parfaitement lisse et pâle de la jeune abbesse, qui proteste gentiment...
« Ohh, vous n'allez pas... Laissez-moi l'ôt... »
« Ta gueule, sale putain coloniale! À partir de maintenant, tu la fermes et tu t'appelles salope, compris? »
L'abbesse en émoi, éperdue, hoche la tête. Cette façon de la dominer augmente son excitation palpable. La phrase suivante du lieutenant lui fait pousser un gloussement sauvage...
« À présent, ma petite pouliche, on va voir si tu as les seins aussi blancs qu'on le dit! Allez, aaaahhhrrrr... Ooooohhh, par exemple! »
La lame de la baïonnette a tranché le débat et vaincu la bure dans un majestueux ...