Un mariage arrangé
Datte: 19/01/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
laid(e)s,
campagne,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Anotherworld, Source: Revebebe
... s’accroupir au-dessus de moi pour s’embrocher sur ma queue raide. Ainsi, elle pouvait mieux maîtriser le rythme de cette étreinte et l’adapter à son propre plaisir.
— Moi, en revanche, reprit-elle, j’ai déjà eu envie de vous, je me suis même déjà masturbée en pensant à vous, j’aime les hommes de votre âge et vous en particulier. Et maintenant que je sens votre queue en moi, je suis aux anges et j’adore ça.
De plus en plus excitée, elle se mit à accélérer le rythme en gémissant de plus en plus fort. De mon côté, je sentais que ça allait venir, elle accéléra encore comme une furie en criant, faisant ballotter ses seins mous en tous sens et provoquant ma jouissance. Elle hurla de plaisir mais continua les allers et retours le long de ma verge jusqu’à m’avoir entièrement vidé de tout mon jus.
— Ah la vache, que c’était bon ! consentit-elle.
— Oui parfait ! admis-je aussi de mon côté.
— J’ai envie que vous me baisiez encore. Mais je pense qu’une petite pause va être nécessaire en ce qui vous concerne.
Ma bite luisante de nos sécrétions mélangées finit par ressortir de son ventre et par glisser le long de sa cuisse. Elle se releva et tendit la main vers moi pour m’inviter à en faire autant.
— Alors comme ça, tu t’es déjà branlée en pensant à moi ? demandai-je intrigué.
— Oui, ces derniers temps, et même assez souvent ! avoua-t-elle sans hésiter. Par deux fois, je vous avais surpris dans les bois en train de vous astiquer, les images se sont gravées dans ma ...
... tête et c’est devenu comme un de mes fantasmes. Par la suite, plusieurs fois j’ai essayé de vous draguer en vous lançant des petites allusions ou des regards de biche… Mais vous n’étiez absolument pas réceptif à mon manège ou préfériez ne rien comprendre. Et j’en étais toute dépitée. C’est moi qui ai eu l’idée d’en parler à mon père et de monter tout ce stratagème pour vous approcher.
J’en suis resté comme deux ronds de frite. Moi qui pensais que la jeune fille était venue me voir contrainte et forcée alors que c’était à sa propre initiative. Je n’en revenais pas. Ça avait été plutôt moi le dindon de la farce !
Marilyne reprit sa route sans autre commentaire et sans prendre le temps non plus de se rhabiller, faisant juste attention que les orties et les ronces n’effleurent pas sa peau nue. Ainsi j’eus le plaisir d’admirer son corps, dans le plus simple appareil, tout le reste du trajet. Nous atterrîmes au bout d’un petit quart d’heure près d’un petit point d’eau entouré de roseaux.
— C’est là que nous allons pique-niquer ! annonça-t-elle, toute guillerette.
Alors que je m’étais assis sur une grosse pierre, elle déposa son sac et vint me rejoindre. Elle s’assit sur mes genoux et se lova contre moi, soudain très chatte.
— Mais avant de manger, j’ai envie d’un gros câlin, le sexe c’est bien mais la tendresse c’est encore mieux. Je suis si bien blottie comme ça entre vos bras !
— D’accord pour un câlin, mais à une seule condition, c’est que tu me tutoies et que tu ...