Un mariage arrangé
Datte: 19/01/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
laid(e)s,
campagne,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Anotherworld, Source: Revebebe
... sautée, ceux qui étaient les moins chiants et qui n’étaient pas rebutés par mon faciès. Mais à chaque fois c’était pareil, une rencontre, parfois deux rencontres et ensuite plus de nouvelles. Au bout d’un certain temps, j’en ai eu ma claque de ces sauteries éparses qui ne menaient à rien. Je me suis désinscrite de tous ces sites il y a de ça plus d’un an, car je préfère finalement me masturber que perdre un temps précieux dans des bavardages pour des étreintes fugaces. Et vous, de votre côté, c’est la veuve poignet pour vous satisfaire ?
— Oui, ça m’arrive assez souvent, c’est vrai… Et je dois aussi avouer que je vais parfois voir des prostituées, ai-je rajouté avec une petite voix.
— Il n’y a pas de honte à ça, chacun trouve son plaisir comme il l’entend.
— Marilyne, c’est vrai que je ne t’ai jamais draguée et je suis allé jusqu’à dire à ton père que c’est parce tu étais trop moche et nullement excitante. Mais en réfléchissant un peu, je m’aperçois que je ne t’ai jamais regardée non plus. Un quart de siècle nous sépare et c’était pour moi rédhibitoire. Tu te rends compte quand même que tu es plus jeune que mes enfants ! En plus, tu étais la fille de mon pote. Je n’ai jamais rien envisagé avec toi pour ces raisons. Mais « trop moche », c’est monstrueusement débile d’avoir pu penser et dit des choses comme ça, vraiment je m’en veux pour ça, et « pas excitante », depuis ce matin j’ai un gros doute sur la véracité de ce propos, surtout quand je regarde ton cul onduler ...
... dans le sentier devant moi.
— Tiens, tiens, vous m’en direz tant ! Vous aimez mon cul ?
— Je l’ai en ligne de mire depuis notre départ et il est bien galbé.
— Je crois bien que ce matin, j’ai oublié de mettre une culotte sous ma robe. Vous aimeriez vérifier et voir mes grosses fesses rondes ?
Sur ce, elle s’approcha de l’arbre le plus proche et se pencha vers lui en cambrant ses fesses vers moi. Je ne fis pas prier, venant derrière elle, je la troussai de suite. Son cul bien blanc et très poilu apparut devant mon regard émerveillé. Je me mis instantanément à bander comme un sagouin. Et il ne me fallut pas longtemps pour sortir ma bite et la tapoter contre son fessier charnu. Elle se cambra un peu plus avec un soupir de femelle en chaleur.
— Baisez-moi, Monsieur Dupuis, baisez-moi, j’ai trop envie de vous. Je n’arrête pas de mouiller en repensant à ce matin.
Effectivement, sa chatte était trempée, ma bite plongea en elle comme dans une mare de mouille.
— Ah putain, quel beau cul, dis-je en lui claquant sévèrement les fesses, comme pour la punir d’être aussi excitante.
Et je me mis à la labourer sans ménagement en regardant ma trique aller et venir entre ses fesses. Elle gémissait à chaque coup de reins. Sentant qu’à ce rythme je ne tarderais pas à venir, elle se désengagea soudain.
— J’ai envie de profiter de vous plus longtemps. Allongez-vous donc dans l’herbe, je vais venir m’empaler sur votre trique.
Sur ce, elle retira complètement sa robe et vint ...