Un mariage arrangé
Datte: 19/01/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
laid(e)s,
campagne,
Oral
pénétratio,
rencontre,
Auteur: Anotherworld, Source: Revebebe
... mouchoir. Comment, dans ces conditions, aurais-je pu aborder des sujets plus intimes avec elle ? À vrai dire, je n’ai même pas essayé, je n’en avais pas envie, renonçant une fois de plus devant l’ampleur du désastre.
Nous avons grignoté un morceau de barbaque séchée en regardant piteusement la télé, chacun de notre côté, sans aucun échange verbal, il faut dire que nous étions tous les deux complètement lessivés.
Je m’attendais benoîtement à ce qu’elle s’en aille après dîner, mais j’eus la surprise de la voir s’éterniser. Elle se proposa pour une petite liqueur, car elle se souvenait qu’un de mes cousins m’avait offert une bouteille d’excellente mirabelle. Tout en sirotant son pousse-café, elle avalait hypnotiquement une série américaine à la con en restant bien engoncée dans mon fauteuil. Plus le temps passait, plus cette Marilyne me débectait. Alors, au diable la richesse, fini la belle dot, pourvu qu’elle me fiche enfin la paix ! Un intermède pub plus tard où, sous son impulsion, nous bûmes encore un verre, il commençait vraiment à se faire tard et j’étais complètement HS, je bayais aux corneilles comme le dernier des vauriens. Je me suis endormi dans le canapé. Un peu plus tard, quelqu’un m’a soulevé, me prenant par l’épaule, et m’a forcé à gravir les escaliers.
— Monsieur Dupuis, vous serez mieux dans votre lit, allez, encore un petit effort.
Elle m’a porté, plus que je me suis traîné, avant que je ne m’affale à moitié ivre dans mon ...
... lit.
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J’ai passé une nuit complète sans même me réveiller pour aller pisser. Lorsque j’ai enfin émergé, avec un mal de crâne épouvantable, j’ai eu du mal à me lever. J’ai posé les pieds par terre et c’est là que j’ai entendu un ronflement derrière mon dos. Machinalement, je me suis retourné, elle était allongée complètement à poil sur mon lit et semblait dormir sereinement. Je n’en croyais pas mes yeux, elle n’avait gardé ni son soutif ni sa culotte et moi aussi j’étais à poil. Après m’avoir aidé à me coucher, elle avait même pris la peine de me déshabiller. Avions-nous fait des choses ensemble ? Peu probable, vu la gueule de bois que je me trimbalais ce matin-là.
Je me suis dirigé vers les toilettes au radar, je titubais presque, je me suis bien vidé avant de regagner la chambre, bien décidé à récupérer mes affaires et à la laisser dormir. Mais quand je suis entré dans la pièce, elle se tenait debout au milieu et me faisait face dans le plus simple appareil, avec la plus grande désinvolture qui soit, et elle ne cherchait manifestement pas à se cacher, peu gênée d’exposer ainsi sa nudité devant un homme qu’elle connaissait à peine. Pour ma part, j’osais à peine la regarder. Mais mes yeux ne pouvaient s’empêcher de dériver tantôt sur sa poitrine, tantôt sur son bas ventre. De longs nichons étrangement mous pour une femme de son âge et une chatte excessivement poilue, revêtue d’une épaisse toison brune : c’est l’impression générale que j’en retirais. Son corps n’était finalement pas ...