1. Musique Peu Classique


    Datte: 11/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    ... sensation d'intromission avait été assez monstrueuse, j'avais eu des réflexes pour renvoyer l'intrus, sans succès puisqu'il avait été sécurisé autour de ma tête. Mes cris avaient été étouffés, mes hurlements à peine audibles. J'avais alors réalisé que les gémissements que j'entendais de Fa en arrivant, devaient en réalité être des hurlements en continu.
    
    J'avais sursauté quand j'avais senti le froid sur mes parties génitales. Elisabeth m'avait enduit d'une crème qui sentait la menthe, et qui avait provoqué un froid sidéral sur mon sexe et mes couilles
    
    Mon érection fit long feu et mes couilles se recroquevillèrent comme jamais. Elle en profita pour les enfourner sans ménagement dans un sac en cuir, trop petit, couvert d'aiguilles à l'intérieur, qui arrachèrent les croutes de mon pénis par suite de ma masturbation masochiste. Le sac était fermé par une fermeture éclair, les pointes pénétrant mes chairs intimes, mes couilles étaient lacérées, mon sexe percé de toute part. Du sang gouttait déjà au travers du cuir. Pourtant le pire était à venir. La crème cessant son effet, mon érection essaya de repartir, et tendit mon pénis, m'offrant encore de nouvelles souffrances. Elisabeth me regardait avec un profond plaisir, malaxa mon paquet pour créer un maximum de dégâts, sans que je puisse même bouger un cil, juste accepter la douleur intense qu'elle m'infligeait.
    
    Je croyais en avoir fini, mais ce fut alors qu'elle m'expliqua le pourquoi du trou dans le fauteuil. Pas pour ...
    ... faire mes besoins, bien entendu. Elle sorti un objet en forme d'obus, noir, cranté, menaçant. Elle l'enduisit longuement de graisse avant de le positionner sous le fauteuil, tout contre mon cul. Malgré la mixture, je paniquais. Je n'avais jamais pris qu'un thermomètre par là et cet objet dont je ne pourrais faire le tour de ma main, ne pouvait, ne devait pas rentrer en moi!
    
    Une fois bien positionné, Elisabeth prit une télécommande, et je senti une pression énorme sur mon sphincter. La pression était alternative, le gode redescendant un peu de sa position, avant de revenir à la charge, m'ouvrant petit à petit. Ou sans doute plus exactement me déchirant. Je hurlais en continu, en vain, l'objet rallongeait sa course progressivement créant une douleur inconnue en moi. Comme si j'avais été battu, et non le déchirement que je supposais. Le va et vient était lent, mes chairs s'ouvraient malgré elles et malgré moi. Je ne contrôlais en rien mes muscles, qui étaient inutiles pour bloquer la puissance de l'engin. Lassée Elisabeth laissa l'engin faire son chemin en moi et vint brancher deux électrodes au sac clouté qui martyrisait mes organes génitaux. La première décharge me coupa le souffle, j'avais les yeux écarquillés. Comment pouvait-elle m'infliger autant de souffrances? Et pourquoi? Pour son plaisir apparemment, elle prit un fauteuil confortable, et jouait des deux télécommandes. Les impulsions électriques me terrorisaient autant que le gode qui s'enfonçait maintenant complètement ...
«12...678...11»