Musique Peu Classique
Datte: 11/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... en moi, provoquant des douleurs dans tout mon corps. Elle accéléra le rythme, l'intensité du courant, je disjonctais, mais malheureusement je ne m'évanouit pas. Le cocktail contenait de l'adrénaline pour éviter toute fuite par ce moyen. Elle se caressait en me regardant, et eu plusieurs orgasmes de me voir autant souffrir, n'hésitant pas à écraser mes couilles de ses pieds pour accroître, si c'était possible, ma souffrance globale.
Elle me laissa un long moment, agonisant sur mon siège de torture, sentant le gode de moins en moins peiner à me remplir et m'ouvrir, les décharges aléatoires empêchant deux idées cohérentes d'émerger. Je ballotais dans un état de souffrance incroyable, et d'excitation tout autant surprenant. Les larmes coulaient, j'avais tant de mal à respirer, je n'en pouvais tout simplement plus. Mais il n'y avait rien à faire. Je ne pouvais que bouger inutilement les yeux. Quand la lumière s'éteint je hurlais dans mon bâillon, elle ne pouvait pas me laisser ainsi.
Combien de temps s'écoula alors? J'étais dans un état de stupéfaction avancé, réduit en quelques heures en un déchet à l'instar de mes autres compagnons de souffrance. Aucune pensée, une conscience à peine éveillée de ce que je subissais, un désir fou de jouir de quelques façons que ce soit. Et un désir encore plus fou d'Elisabeth, comme jamais je n'avais pu désirer même adolescent. Elisabeth était revenue, changée en une robe printanière totalement décalée avec la situation, des sandalettes ...
... blanches, comme si elle partait à un déjeuner sur l'herbe. Elle défit le bâillon sans toucher au reste du dispositif. J'avais la gorge et la bouche sèches, et sans façon, elle glissa une sonde alimentaire directement dans mon estomac, y déversant un liquide dense à l'odeur agréable. Je sentis mon ventre se gonfler tant la quantité était importante. Le bâillon reprit sa place, lubrifié à nouveau. Respiration coupée puis rétablie. La substance me fit du bien très rapidement. Enfin je repris un peu mes esprits, ce qui n'était peut-être pas si bien. J'avais une meilleure conscience de ce qui m'arrivait et de la situation dans laquelle je me trouvais. Sans arriver à vraiment paniquer, ni regretter d'être venu.
- Bien, maintenant tu es Mi, et nous sommes au complet. Mais avant de t'expliquer mon projet, un peu de contexte sur ce lieu et sur mon histoire. J'adore la raconter mais c'est un peu difficile dans les dîners en ville.
- J'ai rencontré René quand j'avais 18 ans. Je faisais un job de vendeuse dans un magasin de luxe. Il était venu acheter un cadeau, très cher, pour une de ses amies. Nous avions discuté, parlé musique et de ce que je voulais faire. Il m'avait draguée gentiment mais je n'avais pas donné suite. Cela m'arrivait tous les jours et les hommes n'étaient pas trop ma tasse de thé.
- Le lendemain, il a fait livrer au magasin un fabuleux bouquet avec sa carte, m'indiquant que j'étais une Maîtresse et qu'il rêvait de me révéler. C'était sans aucun doute un original ...