Musique Peu Classique
Datte: 11/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... ville pour nous retrouver dans la campagne, avant de suivre un chemin de terre amenant à une grande bâtisse cachée de la route. Un endroit magnifique, je ne pouvais croire qu'elle vivait ici et donnait des cours de musique en plein Paris!
- Bienvenu chez moi! Le manoir du solfège
- C'est vraiment magnifique, il est à toi?
- Oui, depuis peu, je te raconterai l'histoire, je suis certaine que cela va te passionner.
- Avec plaisir
- Pas si loin de Paris, le premier voisin à 3 kilomètres, personne qui ne passe jamais à proximité, c'est vraiment unique. Allez viens, on va rentrer. Oh si tu as un téléphone, cependant, le réseau est vraiment mauvais.
- Je ne l'ai pas pris, donc pas de souci.
- Oh vraiment? C'est intéressant. Personne ne sait que tu es ici alors!
- Mais si, toi? Je lui souriais en retour, prenant plaisir à la tutoyer et à la regarder dans sa robe à fleur très déboutonnée.
L'espace était l'impression qui dominait, en entrant dans la bâtisse. Peu de meubles, tout était parfaitement rangé, mélange de moderne et d'ancien, je trouvais qu'il y avait là beaucoup de goût. Et un silence unique. Hormis les oiseaux que j'écoutais avec ravissement. Elisabeth m'indiqua qu'elle travaillait dans le vaste sous-sol, où le bruit de la nature ne traversait pas l'isolation qu'elle avait faite mettre. Avant de me descendre visiter elle me proposa une limonade. Je trouvais cela mignon. Elle s'assit à côté de moi, me regardant en souriant, nos genoux se ...
... touchaient. J'hésitais à faire le premier geste, ce fut elle qui le fit. Posant son verre après l'avoir bu, elle se colla contre moi, approcha doucement sa bouche sensuelle en me regardant dans les yeux :
- Depuis le premier jour où je t'ai vu, j'ai eu envie de ce moment
Et elle m'embrassa profondément, sa langue prenant le contrôle de la mienne, dictant son rythme, ses mains sur mon pantalon pour masser mon sexe. Je ne résistait pas longtemps à la serrer, caresser son dos, puis, en me décalant, à découvrir sa poitrine nue sous sa robe. C'était un délice, un péché. Je regrettais si souvent la petite poitrine de ma femme, là j'étais plus que comblé. Elle était lourde, ferme, avec des tétons devenus vite très durs. Elle défit ses bretelles pour libérer le haut de son corps et me faire voir ses seins dans toute leur beauté. J'étais subjugué, ayant souvent fantasmé sur des photos de poitrine, celle-ci était sans conteste la plus belle que j'ai jamais vues. Et elle me l'offrait.
Sans que je réalise comment, je me retrouvais nu, tandis qu'elle avait gardé sa robe en bouchon autour de la taille. Mon sexe ne demandais qu'à exploser et Elisabeth vint pointer le bout de mon pénis sur l'entrée de son sexe qui semblait palpiter de désir. Elle m'enfourcha, s'empala de tout son corps, dans un soupir de satisfaction que je partageais. Sous mes yeux j'avais son corps et ses seins qui tressautait en rythme, soutenus par mes mains avides et ne se lassant pas de ce poids et de cette densité. ...