Musique Peu Classique
Datte: 11/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... l'inquisition et je vais te raconter pourquoi et comment tu es là. Je sais qu'ainsi dans tes moments de conscience tu pourras y penser et nourrir ta terreur. Car parfois j'interromps le traitement, justement pour profiter de votre détresse absolue. Le traitement interrompu, les effets inverses sont décuplés, c'est tellement excitant alors de lire, la terreur, la rage, la souffrance extrême dans vos yeux. Mmmhhh j'en suis toute excitée à y repenser. Mais ce ne sera pas avant quelques semaines pour toi, tu viens juste de commencer le traitement. Tu te sens bien, n'est-ce pas? Tu as envie de m'obéir et de faire tout ce que je te demande?
- Oui Elisabeth.
- Tu n'as pas peur?
- Je, non, j'ai envie d'être avec toi
- Allez viens t'asseoir
La chaise ressemblait à un fauteuil club, mais chaque surface était hérissée de pointes longues d'une dizaine de centimètres, très impressionnantes. Au centre, le siège était découpé, comme un siège de toilette. Je n'avais pas eu le choix, je n'avais pas résisté et je m'étais assis sous l'injonction d'Elisabeth. La sensation avait été atroce dès la première seconde, ma peau avait été pressée de partout, j'avais eu mal aux fesses mais j'avais dû me mettre au fond, c'était déjà insupportable. Elle avait refermé sur mes jambes un sarcophage également hérissé de pointes, dont le volume était réglable par une molette. Sans hésiter, elle avait serré jusqu'à ce que mes hurlements soient stridents, et la satisfassent.
De même pour les ...
... bras et mes mains qui avaient été ainsi emprisonnés, avec des centaines de pointes appuyant indifféremment sur muscle, tendon ou os. Je n'avais pu ni voulu bouger, j'avais pleuré de souffrance, mais rien n'y avait fait. Ma tête elle-même avait été poussée sur l'arrière garni de pointes qui m'avaient contusionné le crâne, maintenue par un lacet autour du front, et un autre autour de la gorge rendant difficile ma respiration. Enfin, une ceinture avait pressé mon torse contre le dossier, transperçant mon dos des pointes présentes. C'était tout simplement atroce. Je n'avais pas pu bouger, et ainsi soulager les tensions, sachant que je perdais le fil de mes sources de douleur, et que je me sentais délirer. J'aurais avoué n'importe quoi pour échapper à la torture, mais Elisabeth n'attendait rien de tel de ma part.
Elle avait semblé très satisfaite et me l'avait dit, mes cris l'avaient ravie et elle avait eu hâte de passer aux premiers exercices de vocalise. Mais pour l'heure, elle avait souhaité me museler. Je découvrais la partie cachée des bâillons de Fa et Ré, un long sexe d'une vingtaine de centimètres, qu'elle avait lubrifié pour me l'enfoncer dans la gorge. J'avais obéi à sa demande et j'avais ouvert ma bouche. La sensation avait été étrange, j'avais eu envie de vomir, j'avais senti ma gorge se dilater, ma respiration coupée par l'objet inséré. Une fois enfoncé au maximum, par miracle, ma respiration avait repris. Un système de microalvéoles avait permis à l'air de passer. La ...