Veux-tu te connecter à mes rêves ?
Datte: 09/01/2024,
Catégories:
ff,
jeunes,
couple,
enceinte,
bizarre,
voiture,
amour,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
jouet,
sf,
Auteur: Calpurnia, Source: Revebebe
... ne pouvant pas nous bombarder aveuglément au risque de tout perdre, étaient contraints à ruser. Je me méfiais.
Le lendemain soir, Catherine s’est présentée, comme elle l’avait promis, à la porte du village. Je me suis tenue là pour l’accueillir, et après l’avoir fouillée pour vérifier qu’elle ne cachait aucune arme, je l’ai menée, accompagnée d’une escorte, jusqu’à ma hutte où j’ai demandé qu’on nous laisse seules.
— Que vas-tu faire de moi ?
— J’ai bien mon idée à ce sujet, mais je vais proposer à mes Amazones de décider de ton sort. En attendant, déshabille-toi. Je veux te voir nue.
— Bien.
Elle a abandonné ses vêtements au sol. Sa peau était extraordinairement blanche et exempte de tout défaut. Par sa taille, elle me dépassait d’une tête. Treize ans après notre séparation, je ne me souvenais plus à quel point elle était grande. En m’approchant d’elle, je n’ai pu m’empêcher d’éprouver un picotement au bas-ventre.
— Je te plais ?
— Vous autres, les Riches, vous savez maîtriser votre apparence. C’est incroyable comme tu n’as pas changé du tout en treize ans.
— Je te renouvelle ma reddition personnelle : tu peux disposer de moi comme tu l’entends. Charnellement, si tu veux.
— Peut-être. Mais il existe des possibilités alternatives. Je pourrais te faire exécuter devant tout mon peuple.
— Avec les drones-espions, j’ai pu constater la manière dont tu punis tes soldates insoumises. Cela m’excite beaucoup. J’avoue m’être souvent livrée au plaisir solitaire en ...
... visionnant ces images. Je brûle de subir la même chose. Veux-tu ?
— Tu es venue afin que je satisfasse tes fantasmes ? Tant que nous y sommes, pourquoi pas une crucifixion, comme dans ton rêve ?
— Agis comme tu l’entends. Et toi, tu n’as pas peur que je t’étrangle ? Je pourrais le faire à mains nues : tu es si frêle ! Tu devrais m’attacher.
Elle a caressé mon cou, tendrement. Nos visages se sont rapprochés, puis nos lèvres se sont jointes. Mes mains ont couru sur la peau, s’égarant sur les zones intimes. Ma faim de sensualité s’est à nouveau éveillée, trop longtemps refoulée au profit de l’instinct immédiat de survie. Je ne pouvais pas lui avouer que chaque nuit, sur ma couche, avant de sombrer dans le sommeil, je me livrais au plaisir solitaire en rêvant de son corps. Le corps de mon ennemie. J’ai toujours détesté cette femme, mais le désir est plus fort que toute haine.
— Comment vont tes parents, m’a-t-elle demandé ?
— Mon père est mort pendant que j’étais avec toi. Ma mère survit seule au milieu des ruines. Je suppose que tu m’en veux à mort pour avoir détruit la réserve de sperme de ta cité ?
— Pas du tout, au contraire : par ton acte, tu nous as forcées à avancer sur nos recherches, de sorte que dans nos laboratoires, nous sommes parvenues à produire du sperme de synthèse. Celui-ci est plus stable génétiquement que la semence naturelle, et surtout plus flexible : nous allons pouvoir adapter plus facilement les caractéristiques physiques de nos descendants afin de ...