1. Le souper : hors d’œuvres et (d)ébats


    Datte: 01/01/2024, Catégories: ff, fplusag, campagne, fête, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Oral nopéné, uro, piquepince, lesbos, dominatio, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... fait vraiment frais. Je vais pour décrocher ma tunique quand sa main se pose sur mon bras nu. Encore ce frémissement…
    
    — Vous n’avez pas la vessie qui vous titille, vous ? Moi, oui.
    — Ben… si, un peu… (Ce doit venir de ça, cette curieuse impression.) J’attendrai qu’on arrive.
    — Nous en avons encore pour une bonne heure. Nous ne tiendrons pas jusque là. Vous m’accompagnez ? Pisser en chemin renforce bien des liens !
    
    Sa figure rayonne de malice en me lançant cette maxime, inventée probablement pour l’occasion. Je ris de bon cœur.
    
    — D’accord, Colette ! Laissez-moi d’abord me couvrir le dos, dis-je en cherchant des yeux une poignée de feuilles à usage d’hygiène.
    — Les aiguilles de pin ne sont guère appropriées. Quant aux kermès, je vous les déconseille, s’amuse Colette. Ne vous tracassez donc pas, je vais vous montrer comment s’en passer.
    
    Elle roule soigneusement son pull au-dessus des seins, et s’accroupit à moitié devant moi, le bassin projeté en avant, genoux fléchis et cuisses largement écartées, telle une grenouille. OK ! Je l’imite, pour le haut et pour la position. Si quelqu’un nous voyait, il nous croirait retombées en enfance…
    
    — Et donc ?
    — Regardez : vous attrapez vos petites lèvres du bout des doigts et vous les étirez autant que vous pouvez sur les côtés. Allez-y… Plus fort… Plus vous vous ouvrirez, moins vous vous mouillerez.
    
    Ben tiens ! Elle croche dedans sans vergogne, mais je ne les ai pas aussi longues qu’elle. Il me faut deux ou trois ...
    ... essais pour enfin arriver à tenir ces petits volets de chair sensible sans qu’ils m’échappent. Ce n’est pas si douloureux que j’aurais cru, c’est même amusant, et plutôt agréable. Elle me montre son con écartelé et je lui montre le mien béant. De plus près, je verrais jusqu’à son urètre et elle en verrait autant de moi. Je n’ai aucune honte avec cette femme. Certes, j’ai déjà pissé devant elle, hier et ce matin, mais je ne me suis pas exposée de façon aussi obscène. Hé bien, non, je n’ai pas la moindre gêne. Au contraire, j’aime qu’elle me regarde.
    
    Elle a attendu que je maîtrise la technique. Son sourire approbateur précède son jet. Je me lâche dans la foulée. Dieu que c’est bon ! Pas de parurésie cette fois, j’arrose sans retenue. Elle pisse dru. Nos pipis se réunissent en arrivant au sol. Nous faisons flaque commune !
    
    Les meilleures choses ont une fin. Encore quelques résurgences de plus en plus timides (euphémisme !) et nos sources se tarissent. Colette ondule vivement des hanches pour expulser les dernières réminiscences. « Essorage », dit-elle. Je m’y exerce maladroitement. Je suis loin d’avoir sa souplesse. Elle a l’indulgence de ne pas s’en moquer. Nous nous redressons. Sa méthode n’est pas infaillible, je le sens bien : il y a deux ou trois gouttes qui traînent toujours dans ma fente. Je lui en fais gentiment la remarque.
    
    — Bah ! Ça séchera en marchant ! Voyons, Chantal, vous n’êtes pas chochotte au point de vous tourmenter pour un petit souvenir d’urine dans la ...