1. Clinique Saint Roch 1


    Datte: 29/12/2023, Catégories: h, fh, fplusag, médical, Collègues / Travail Masturbation pénétratio, poésie, occasion, Auteur: Volovent, Source: Revebebe

    ... homme dans les pattes.
    — Ne dites pas de bêtise, mon petit Jean(ça y est, elle m’appelle par mon prénom), nous avons besoin de vous, ne serait-ce que pour la gaudriole. Son père n’était pas très porté sur la chose, mais moi si. Et si je me suis passé de mon mari, je ne me suis certes pas passé des hommes ni des femmes d’ailleurs. Ce n’était pas toujours facile, à mon époque, pour avoir une aventure. Il fallait parfois faire avec ce qu’on trouvait. Je ne me plains pas, j’ai bien vécu. Et ça me chagrine fort de voir ma fille perdre son temps et se faire exploiter par son mari, ses enfants… Vous devriez vous en occuper un peu, on dit que vous aimez la gymnastique en chambre.
    — Oh, Mme D !
    — Ne protestez pas, vous avez raison. Carpe Diem, comme on dit. Et j’aurais quelques années et ce maudit cancer en moins, je me serais chargée de vous faire passer une ou deux soirées intéressantes.
    — Oooh ! Mme D !
    — Allez, filez, ça va être la visite du patron, il faut que je me recoiffe.
    
    Je ne me suis pas fait prier. La conversation versait dans le chaud - bouillant et je n’étais pas encore de taille à croiser le fer avec une femme de cette trempe.
    
    Pendant le repas, mauvaise nouvelle, Henriette me remet une lettre de Barbara qui décommande pour ce soir. Je suis maudit cette semaine.
    
    *
    
    * *
    
    Samedi midi : ouf, 24 h de détente, et je vais voir ma douce et tendre cet après-midi. N’ayant pu conclure cette semaine, j’ai une forme et une envie terribles. La soirée va être très ...
    ... chaude !
    
    16 h : j’ai fait quelques courses et un peu rangé le studio. On sonne, c’est elle. Nous nous embrassons longuement, et je commence à caresser son corps. Elle me repousse gentiment, en souriant.
    
    — Laisse-moi me remettre du trajet. J’ai encore la tête ailleurs.
    
    Incroyable ce que cette fille me plaît ! Elle est douce, gentille, a un corps superbe, et en plus elle aime ça ! J’aime tout chez elle et elle me fait bander à chaque fois que je la regarde. Je ne peux pas attendre. Je la serre contre moi et commence à la déshabiller lentement en l’embrassant un peu partout. Sa peau est douce et je m’attarde dans le cou, avant de descendre sur les épaules, puis les seins. De petites aréoles surmontées de pointes qui se dressent rapidement sous les caresses et durcissent dans ma bouche. Sa respiration s’accélère, mais elle garde les cuisses serrées et empêche ma tête de descendre trop bas. Exquise pudeur !
    
    Je remonte donc et reprends ses lèvres. C’est tellement doux et bon que j’ai des vertiges. Je l’aime vraiment cette fille. Il faut que je me la garde bien au chaud. Ma main descend sur sa hanche, une amphore grecque. J’essaie de glisser une jambe entre ses cuisses, mais la demoiselle se défend encore. Elle se redresse et me dit :
    
    — J’ai quelque chose pour toi.
    
    Elle plonge dans son grand sac et en sort fièrement… un gâteau au chocolat ! J’éclate de rire.
    
    — Génial, j’adore ça, on va le manger en faisant l’amour !
    — Non, on va le manger d’abord et on verra pour ...
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