Clinique Saint Roch 1
Datte: 29/12/2023,
Catégories:
h,
fh,
fplusag,
médical,
Collègues / Travail
Masturbation
pénétratio,
poésie,
occasion,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... téléphone du patron. Il veut avoir des nouvelles du 3 bien sûr, et me demande si je n’ai vraiment pas besoin de lui. Je lui réponds que ça m’arrangerait bien s’il pouvait régler le traitement pour la nuit. Gagné, il arrive dans dix minutes, le temps d’enfiler un manteau. Il est enchanté.
Le soir est tombé depuis longtemps, mais je ne me rends compte de rien ici. Le patron est passé dire bonjour à la famille(15 s), au patient(15 s) et à moi(5 s), puis est parti en demandant de ne surtout pas le déranger, il ne sera pas chez lui. Bien sûr, il n’a pas eu besoin de régler le traitement, se contentant d’un « C’est parfait comme ça ».
À 22 h, passage à l’office. Ce soir, c’est Georgette, une très spéciale. 45/50 ans, pas désagréable physiquement, mais pas mon genre, un peu vulgaire et pas froid aux yeux. La deuxième fois qu’on s’est vu, elle est venue s’installer sur mes genoux ! L’accueil a été froid, et même glacial, ce qui fait que notre entente laisse sérieusement à désirer. Il faut que je fasse attention, car, comme toutes les femmes vexées, elle serait partante pour me faire un enfant dans le dos. Je lui propose donc de me faire une pipe, ce qui fait rougir sa collègue. Tiens, je ne la connais pas celle-là. Très mignonne, type nord-africain, avec une petite figure aux traits fins et bien dessinés, guère plus de 19/20 ans, brune aux yeux noir très vif, je dirai, au doigt mouillé, 1,58/59 m, 45 kg, l’air grave. Latifa il y a 20 ans, le sourire en moins ? Je la ...
... complimente et lui souhaite la bienvenue dans l’établissement que je promets de lui faire visiter, surtout ma chambre, dès qu’elle est libre. Georgette fait sa grosse voix et me prie de me tenir tranquille avec sa protégée qui a baissé la tête et rougit. Il faudrait que je la revoie cette mignonne. Sait-on jamais ?
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J’ai toujours aimé le dimanche matin. Dans mes périodes calmes, je traîne en robe de chambre en écoutant de la musique, dans mes périodes agitées je fais de la varappe à Fontainebleau avec des copains, et le reste du temps je suis de garde.
Là, je suis de garde, mais je traîne. Le 3 ne va pas trop mal et les autres n’ont pas besoin de moi. Ne sachant pas quoi faire, je vais embêter l’équipe du dimanche. Elles n’aiment pas trop parce qu’elles ont le même travail qu’en semaine, mais en service réduit. Alors je me fais jeter(gentiment) de partout. Henriette est toujours là. On se demande ce qu’elle ferait sans la clinique et inversement. Je règle le traitement du 3 au micropoil et j’annonce à tout le monde que je vais faire un tour chez mes parents. Ça y est, le patron a déteint. Pratique son truc.
Je fais donc une petite promenade digestive dans le quartier, histoire de réviser les classiques. Le village Saint-Charles, la partie la plus commerçante du quartier n’offrant aucun intérêt un dimanche après-midi, je décide de descendre la rue de la Convention, en longeant le superbe bâtiment de l’Imprimerie Nationale, et de rejoindre la Seine. Accoudé au parapet ...