Une île
Datte: 22/12/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
ffh,
2couples,
couplus,
vacances,
parking,
Masturbation
facial,
Oral
fgode,
double,
échange,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... seul dans son fauteuil, se masturbe tranquillement, les yeux révulsés comme si c’était son plan préféré. Sophie n’a pas tenu bien longtemps. Nina avait investi les petites lèvres et sa langue remontait régulièrement sur le clitoris, provoquant à chaque fois des râles chez notre furie. C’est lorsque deux doigts se sont insinués dans son anus qu’elle a explosé une nouvelle fois. Constatant que son traitement me redonne une certaine vigueur, elle me pousse sur le divan et chevauche immédiatement, sans perdre une seconde de sa classe naturelle. Ce n’est pas une chienne en chaleur, comme pourrait l’être Nina, c’est une grande dame qui prend son plaisir sans se départir de sa tenue. Son bassin puissant roule autour de ma queue, mais elle reste le buste droit et les yeux plissés fixés sur l’horizon.
— Votre queue me plaît. Laissez-moi faire.
Je m’accroche à son fessier. Elle guide mes mains à l’endroit idéal(pour elle). Puis une main vient caresser un sein, tirant doucement sur le téton pendant que l’autre glisse vers le pubis, deux doigts s’écartant pour se placer en tenaille autour de ma queue. Extatique, elle a fermé les yeux. Son bassin ralentit.
— Hubert !
C’est impératif. Hubert se lève, puis, placé derrière elle, enfonce sa queue dans la rosette. Je ne bouge plus, sentant la queue d’Hubert contre la mienne au travers de la fine paroi. Il lui suffit d’un coup pour la faire hurler longuement. Hubert sort et décharge les quelques gouttes qui lui restaient sur ses ...
... reins. Elle a perdu son air dominateur. Effondrée sur moi, ses seins lourds flottent agréablement sur mon torse. Je n’ai pas encore mon compte, aussi, je la place en latéral pour démarrer mon « spécial ». Je suis tellement excité que deux coups ont suffi. Un long jet de foutre garnit sa chatte.
Nina, toujours chevauchant son gode, nous regarde comme des extra-terrestres. Épuisé par la chaleur, les efforts et l’ambiance, je récupère une couverture qui traîne, attrape Nina et nous nous couchons sur le vaste tapis du salon. Une minute plus tard, je dors profondément.
Réveil en sursaut. Il est 8 h et Nina se promène nue dans la pièce. Je m’habille vite, fais une toilette de chat, griffonne un petit mot de remerciement pour nos hôtes et nous sortons de la villa. Il fait assez frais avec la pluie d’hier soir. Nos tenues ne sont plus vraiment adaptées. Je frissonne. Nous avons quelques kilomètres à faire jusqu’au port. Je démarre donc d’un bon pas… puis ralentis, Nina ayant du mal à suivre. On va essayer le stop, quoique dans une île aussi huppée, le résultat risque d’être décevant.
Une heure après, nous sommes confortablement installés sur la terrasse de l’hôtel, un pull sur les épaules quand même. Un monstrueux petit déjeuner étalé devant nous, nous sourions au souvenir de la veille.
— J’ai l’impression d’être une petite fille mal dégrossie à côté de Sophie.
— Nous ne sommes pas du même monde. Eux n’ont pas de vrai souci. Les(belles) maisons sont payées, les(belles) ...