Une île
Datte: 22/12/2023,
Catégories:
fh,
fhh,
ffh,
2couples,
couplus,
vacances,
parking,
Masturbation
facial,
Oral
fgode,
double,
échange,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... prouesses. À peine sortie de la douche, elle me saute au cou et me ravage la bouche.
— Prends-moi vite, j’ai envie. Maintenant. Baise-moi, je ne peux plus attendre.
— Ma perle des îles, j’hésite. La fatigue inhérente au voyage…
— Si tu ne me baises pas tout de suite, je descends dans la rue et saute sur le premier passant venu !
— Dans cette tenue ?
— Dans cette tenue.
— Ce serait un spectacle exceptionnel. Mais, pour t’éviter la prison pour outrage aux bonnes mœurs, je vais faire un effort colossal et te prendre dans mes bras.
— Jean, je te tue.
Je me précipite sur elle, les yeux gourmands, en me pourléchant les babines. Elle crie, se jette sur le lit en écartant bien les cuisses, me permettant de la pénétrer sur le champ au plus profond.
— Ouiiii ! Encore. J’ai envie, défonce-moi. Jean, Jean, Jeaaannnn !
La suite est féroce. Insatiable, elle se rue à l’assaut de ma queue sans qu’aucun frein ne puisse la retenir. Elle vient très vite sur moi pour prendre son plaisir comme elle l’entend et ne m’attend pas pour conclure brillamment son interprétation. J’ai dû jouer les prolongations pour exploser à mon tour.
Les cuisiniers doivent parfois faire preuve de patience. Celui-là nous a attendus longtemps. La soirée est donc calme. Nous sommes allés marcher sur le sentier des douaniers, puis dodo sage et grosse grasse mat’.
Le samedi matin est agréable, fraîcheur bienvenue(je me suis même recouvert d’un drap vers 5 h du matin), atmosphère détendue chez les ...
... passants et les commerçants. J’offre une petite robe sans prétention à Nina, mais bien adaptée à son corps. Légèrement transparente et lui laissant une grande liberté de mouvement, elle provoque une rapide poussée de tension chez la gent masculine du coin. Nina est heureuse et nous aurions volontiers étrenné cet achat si la canicule ne nous avait pas de nouveau assommés en fin de matinée. La sieste est donc sage et entrecoupée de douches, puis nous rejoignons la plage et passons notre après-midi dans l’eau.
Le soir, après le repas, nous sortons nous promener autour du port. Beaucoup de monde dans les rues, à la recherche, comme nous, d’une bouffée d’air frais. L’atmosphère est lourde, oppressante, un peu comme si un orage allait éclater, et nous avons cette sensation d’être écrasés par la pression ; le pas se fait lent et lourd. La curiosité nous conduit vers un endroit de vastes hangars plus ou moins utilisés. Une musique jaillit au loin de l’un d’eux. Nous nous laissons guider et arrivons sur une place nue, servant de parking. Un bâtiment éclairé attire des couples qui entrent et sortent dans une ronde continue. La musique, étouffée, vient de là.
Nous entrons, curieux mais circonspects. C’est une espèce de boîte de nuit assez typique avec ses boules lumineuses, sa musique assez forte, ses conversations forcément bruyantes, son public jeune et décontracté. Un semblant de climatisation nous permet de ne pas étouffer. Nous nous dirigeons vers le bar, réflexe normal dans un ...