Morgane de toi
Datte: 14/12/2023,
Catégories:
fh,
vacances,
bain,
forêt,
campagne,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
nopéné,
Auteur: Fitiavana, Source: Revebebe
... comme jamais, et malgré tout ce que j’ai déposé sur ton corps et ton visage, j’en ai aussi mis plein sur ta serviette.
Les gestes d’Émilie perdent de leur précision. Là où elle dessinait avec délicatesse du bout de ses doigts mouillés, elle me barbouille maintenant en faisant de larges mouvements approximatifs de la paume de sa main. En même temps, sa voix se fait plus hésitante.
— Je te préviens, ma source ne se tarit pas facilement… mais je ne suis pas certaine de tenir encore longtemps… Je vais encore me rapprocher, au point de te toucher le visage… avec mes lèvres…
Elle joint le geste à la parole et je sens ses muqueuses brûlantes caresser le bout de mon nez. Je remplis mes poumons de ces effluves indécents.
Voilà, inspire… à fond, respire mon odeur… sens ma chatte… Tu n’as pas peur de te faire éclabousser, j’espère… Tu seras au cœur de l’action au moment où… je vais bientôt… m’envoler… respire encore… oui…
Comme au moment de son dernier orgasme, Émilie pousse une longue plainte, reprend son souffle, et rapproche encore son intimité trempée de mon visage. Mon nez rejoint ses doigts entre ses lèvres, mes sens ont également atteint le point de saturation et j’explose sous ses yeux, pendant qu’elle continue :
— C’est tellement bon… je suis complètement… je t’ai fait… je veux que… ça ne s’arrête pas… aide-moi… fais-moi… encore… j’ai envie…
Émilie presse son entrejambe contre moi, prolonge son plaisir en se masturbant littéralement sur mon visage, et ...
... me crie son orgasme en m’arrosant de plusieurs jets d’amour.
Il nous faut plusieurs minutes pour revenir au calme. Ni Émilie ni moi n’avons vraiment envie d’interrompre ce moment intense, mais la position dans laquelle elle est restée – assise sur le sol, les jambes largement écartées, l’une reposant au-dessus de mon corps – lui impose un changement de posture.
— Il faut que je me lève, j’ai une crampe. C’était… incroyable, je me suis éclatée comme rarement. Mais je t’ai inondé, mon pauvre chéri. Je suis désolée, j’espère que tu ne m’en veux…
Cette fois, c’est un regard éloquent de ma part qui la dissuade de terminer sa phrase, et c’est tant mieux. Elle éclate de rire :
— D’accord, je ne dis plus rien. Allez, viens, on retourne au ruisseau. Je vais t’aider à te débarbouiller, je te dois bien ça. Ce que tu m’as fait était génial.
Je n’ose pas lui dire que je n’ai rien fait et qu’elle a tout fait. Je me plonge dans l’eau froide et je laisse dériver, à regret, dans le courant rapide les humeurs qu’Émilie a répandues sur moi. Elle s’approche de moi, me frotte les cheveux, le torse, les épaules. Elle verse de ses mains de l’eau sur ma tête et caresse mon visage avec tendresse.
Bien plus tard, alors que nous partageons notre dîner, Émilie revient sur cette nouvelle expérience intime :
— C’était un très bon moment, mais en fait j’ai des remords. J’ai quand même eu un peu l’impression de jouer à la dominatrice, et c’est un rôle que je n’apprécie pas tellement, ...