1. Morgane de toi


    Datte: 14/12/2023, Catégories: fh, vacances, bain, forêt, campagne, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, Masturbation nopéné, Auteur: Fitiavana, Source: Revebebe

    ... celle de sa poitrine, plus douce, celle de son entrejambe, qui me rappelle mes caresses de la veille. Je voyage sur son corps sans faire un mouvement, elle marche autour de moi, s’approche et s’éloigne, passe et repasse devant mes narines, sans dire un mot.
    
    Le bruit de ses pas s’éloigne en direction des buissons ; après quelques secondes, un léger chuintement parvient à mes oreilles, accompagné du bruit d’un liquide qu’on verse sur le sol. Apparemment, Émilie est en train de se soulager. Quand elle revient vers moi, elle s’assure que je perçois la nouvelle composante de son odeur intime, bien reconnaissable mais pas repoussante, plutôt douce, un peu excitante même.
    
    — Excuse-moi, c’était urgent. Je vais m’essuyer, annonce-t-elle en étouffant un rire.
    
    Je reste de nouveau un long moment immobile sur le sol, toujours aveugle, attendant la suite. L’essuyage semble minutieux.
    
    Émilie revient et passe son index sous mon nez. L’odeur de son doigt est facile à identifier.
    
    — Tu sens dans quel état je suis ? Ça fait plusieurs minutes que je me caresse… Je crois que je vais continuer tout contre toi.
    
    J’entends Émilie s’installer à côté de moi, son entrejambe tout près de ma tête. Je tourne le cou pour me rapprocher encore de la source de son plaisir, elle se rapproche également, posant une de ses jambes sur mon corps.
    
    Émilie ne peut empêcher que quelques bruits mouillés parviennent à mes oreilles, ne me laissant plus aucun doute au sujet de ce qui se trame à quelques ...
    ... centimètres de mon visage. Elle me présente à nouveau un doigt chargé d’odeurs, puis tout à coup :
    
    — Attends, j’ai une idée !
    
    Je me demande ce qui peut lui passer par la tête, et je n’attends pas longtemps la réponse : Émilie est en train de me caresser le visage de ses doigts trempés. Elle passe ses mains sur mes joues, sur mon front, sur mes lèvres. J’essaye de lui lécher les doigts au passage, mais :
    
    — Non, tu ne goûteras pas. On garde ça pour demain, ne brûlons pas les étapes, s’il te plaît !
    
    De nouveau, Émilie se retient de rire, mais le ton de sa voix la trahit. De mon côté, malgré le côté inhabituel de la situation, je commence à être sérieusement émoustillé. Si ma compagne continue ses fantaisies, je ne réponds plus de rien.
    
    Émilie continue ses caresses sur mon visage, passe ses mains dans les cheveux et descend sur mon torse et mes bras. Par moments, une de ses mains m’abandonne pour récolter une nouvelle rasade de son plaisir liquide, qu’elle s’empresse de répandre sur ma peau. Je respire à pleins poumons cette odeur provocante, chargée de désir, qui flotte maintenant tout autour de moi.
    
    — On dirait que tu aimes ça, mon Cédric d’amour. Une fois de plus, je craignais d’abuser de ta présence et de ta patience, mais je crois que tu apprécies nos petits jeux autant que moi. Je continue ?
    
    J’acquiesce de la tête, incapable de dire un mot.
    
    — Dommage que tu ne voies rien. Ma petite fleur est grande ouverte, à cinq centimètres de ton visage. Je coule ...
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