Morgane de toi
Datte: 14/12/2023,
Catégories:
fh,
vacances,
bain,
forêt,
campagne,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
nopéné,
Auteur: Fitiavana, Source: Revebebe
Résumé des épisodes précédents :
Épisode 1 : «La rencontre »
Parti marcher sur les chemins de Saint-Jacques, je rencontre Émilie dans des circonstances inhabituelles : elle se repose, nue, au bord d’un petit étang où je me propose de me rafraîchir. Comme ma présence à ses côtés ne la dérange pas, nous faisons connaissance après ma baignade et marchons ensemble jusqu’à l’étape, où nous partageons la même chambre, l’auberge étant complète.
Épisode 2 : «Saint-Valentin »
Au petit matin, je me retrouve seul dans la chambre. Émilie est partie sans moi, mais elle m'a laissé une lettre et quelques indices pour la retrouver. Nous marchons sur deux collines parallèles, séparées par un vallon, avant de nous rejoindre et de continuer ensemble jusqu'à notre prochain lieu de bivouac, une clairière isolée au bord d'un petit ruisseau. Alors que nous nous baignons, Émilie caresse longuement sa poitrine sous mes yeux, jusqu'à l'orgasme.
Épisode 3 : «Jouir de la vie »
Sur le chemin, Émilie me raconte la perte de son premier et seul amour, mort dans un accident de voiture alors qu'elle était enceinte de lui, et la fausse couche qui a suivi. Elle m'explique que son comportement de femme totalement libérée est une revanche personnelle envers la vie, qui lui a tout pris. Arrivés à l'auberge, elle me demande un massage sensuel qui l'amène à un orgasme dévastateur.
Au réveil, ce n’est presque plus une surprise pour moi de me retrouver seul. Je me souviens de m’être endormi ...
... dans les bras d’Émilie, de l’avoir sentie se serrer très fort contre moi en m’enlaçant. Caressé par sa poitrine qui durcissait contre mon dos et son sexe qu’elle frottait doucement contre mes fesses, j’ai rapidement sombré dans le sommeil, bercé par la chaleur de ce contact peau à peau. Mais ce matin, pour la troisième fois, je ne peux que constater son absence.
Je regarde autour de moi : le sac à dos d’Émilie est toujours appuyé contre le mur de notre chambre. Il n’y aura pas de jeu de piste ce matin. Je me lève, je m’étire longuement pour remettre mon corps engourdi en état de fonctionnement, mes yeux sont attirés par un mot griffonné sur la table de nuit : « Bien dormi ? Je prends le petit-déj ! »
Je me passe un peu d’eau sur la figure et je m’habille rapidement. Émilie m’accueille avec un grand sourire dans la salle à manger de l’auberge. Elle est attablée devant un somptueux plateau, déjà largement entamé. Elle pose son journal, et me dit, comme pour se justifier :
— J’ai besoin de reprendre des forces. Je ne sais pas ce qui m’est arrivé hier soir, j’ai dû faire un truc qui m’a pris toute mon énergie !
— Oui, ça doit être les kilomètres, n’est-ce pas ?
— Très probablement. Mais d’habitude, la randonnée, c’est dans les mollets et les cuisses que je la ressens. Là, c’est plutôt dans le bas du ventre. Tu pourras m’examiner ce soir ?
Et comme je m’installe à côté d’elle, elle se penche vers moi et ajoute à voix basse :
— Aujourd’hui, ce sera l’odorat…
Elle ...